Cette pauvre dame va enfin comprendre qui dirige la France ! Elle nous rappelle les victimes de l’attentat de Karachi dont on nous expliquait qu’elles avaient été la proie du grand méchant terroriste d’Al Qaïda, alors qu’en vérité, c’était un sordide règlement de comptes entre voyous de la Ripoublique ! Désormais, elle va rencontrer les pires obstacles dressés de toutes parts et notamment par la justice pour ne jamais connaître la vérité. Je conseille à Mme Wolinski la visualisation de ma vidéo La valise ou le cercueil afin de se poser les bonnes questions sur ces attentats et surtout la différence phénoménale des témoignages de Coco et Sigolène Vincent ! Bref, bon courage madame, en vous souhaitant de la détermination et de la patience.
La douleur reste vive, la colère aussi. Six mois après l’attentat contre Charlie Hebdo par les frères Kouachi, Maryse Wolinski, la veuve du dessinateur tué dans l’attaque, s’est portée partie civile afin de comprendre les “failles” dans la protection du bâtiment qui hébergeait la rédaction de l’hebdomadaire satirique. C’est ce qu’elle annonce à RTL, mardi 7 juillet. Cela lui permettra de consulter le dossier concernant la mort de son mari.
- Il y a eu plusieurs coups de téléphone, avant que les Kouachi n’arrivent dans la salle de rédaction, de différentes personnes de l’immeuble. Par conséquent on se demande pourquoi ce sont trois vététistes qui sont arrivés alors que l’on parle de deux hommes masqués, cagoulés et ayant en main des armes de guerre. – Maryse Wolinski à RTL.
“Je ne suis pas en colère contre ceux qui restent, je suis en colère en général, contre ce qui s’est passé. (…) Pourquoi n’y avait-il pas une fourgonnette ? Pourquoi le GIGN n’a pas débarqué ?” s’interroge encore la journaliste et romancière. La veuve de Wolinski pointe le manque de sécurité autour de la rédaction et assure qu'”il y a plusieurs responsables à ces failles”. Qu’elle compte bien identifier.