C’est très bien ça pour les études et la future carrière de ces jeunes filles. Au lieu de préparer leurs bacs, elles couchent avec des hommes mineurs qui ne prendront jamais la responsabilité d’une naissance les laissant avec l’embryon se débrouiller seules. Du coup, au lieu de réviser les cours de maths et de littérature, elles se retrouvent au planning familial en espérant qu’elles n’ont pas dépassé les limites légales autrement c’est direction Belgique ou Espagne.
Bref, tout ceci est très bon pour les générations future, rien de tel qu’un avortement ou deux pour commencer sa vie de femme…
Le nombre d’avortements est en forte hausse chez les jeunes. C’est ce que révèle la dernière enquête de la Smerep. Les étudiantes sont autant touchées que les lycéennes.
Pas moins de 6% des lycéennes françaises ont déjà eu recours au mois une fois à une interruption volontaire de grossesse (IVG) et parfois même deux fois pour certaines. Un chiffre qui grimpe lorsqu’il s’agit des jeunes adolescentes en Ile-de-France puisqu’une lycéenne sur dix y aurait déjà subi une IVG. C’est l’un des constats alarmants que dresse l’étude commandée par l’organisme de sécurité sociale étudiante Smerep. L’enquête, parue le lundi 5 septembre dernier, a été menée par OpinionWay auprès de 507 étudiants de toute la France et 707 en Ile-de-France et de 403 lycéens sur tout le territoire et 368 d’Ile-de-France.
Une lycéenne sur cinq a déjà eu recours à une contraception d’urgence
Ainsi, malgré les opérations de prévention, de plus en plus nombreuses dans les lycées et universités, plus d’une lycéenne française sur cinq déclare avoir déjà eu recours à une contraception d’urgence, autrement dit, à la pilule du lendemain. Et 7% d’entre elles y ont déjà eu recours deux fois et 2% plus de 5 fois. Un chiffre qui grimpe encore nettement lorsque l’on se concentre sur la population lycéenne francilienne: près d’un tiers des lycéennes d’Ile-de-France (31%) déclare avoir déjà pris la pilule du lendemain. Des résultats inquiétants qui rappellent ceux d’une autre enquête de la Smerep, publiée au mois de novembre dernier. Celle-ci avait révélé que 9% des lycéens ne se protégeaient jamais lors d’un rapport, tandis qu’un jeune Francilien sur cinq déclarait ne jamais se protéger.
16 % des étudiantes ne prennent pas la pilule par peur de problèmes de santé
Des comportements à risques également présents au sien de la population étudiante. En effet, selon la Smerep, si 87% des étudiantes françaises déclarent utiliser le préservatif pour éviter une grossesse, 70% d‘entre elles ne l’utilisent pas systématiquement. Par ailleurs, seulement un tiers des étudiantes interrogées et ayant déjà eu des rapports sexuels déclarent ne pas prendre de […]
Fanny Lauzier