Énième condamnation judiciaire du voyou récidiviste Éric Zemmour qui a passé ces dernières années à diffamer et injurier les musulmans en les traitant de terroristes. Alors qu’un Jean-Marc Morandini par exemple a dû quitter son poste pour une simple accusation, Monsieur Éric Zemmour garde toujours son poste, ou plus exactement ses nombreux postes médiatiques, et continue à déverser son fiel et sa haine de l’islam, jour après jour, sans qu’il n’y ait aucune conséquence professionnelle d’un point de vue éthique et déontologique, malgré les nombreuses condamnations judiciaires. On croit rêver ! En d’autres termes, les radio-télé et autre presse-papier embauchent des voyous multirécidivistes et ça ne dérange personne.
Que pense le Décodex de ce genre de comportement ? Il suffit d’observer le monde tel qu’il est pour voir le complot ! Il crève les yeux !
Le polémiste avait estimé que les djihadistes étaient considérés « par tous les musulmans comme des bons musulmans ».
Le chroniqueur, Éric Zemmour, poursuivi sur citation directe de l’association CAPJPO-EuroPalestine, a été condamné ce jeudi à 5000 euros d’amende pour provocation à la haine. Le 6 septembre 2016 au cours de l’émission « C à vous » sur France 5, il avait entre autres déclaré, à propos des musulmans, qu’il fallait « leur donner le choix entre l’Islam et la France ».
L’éditorialiste avait également expliqué que les djihadistes étaient considérés « par tous les musulmans comme des bons musulmans ». Le CSA, qui avait reçu plus de 8 000 plaintes de téléspectateurs, avait estimé par ailleurs que les intervieweurs n’avaient pas assez vivement réagi aux propos de leur invité « au regard de la gravité des propos tenus ». La 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a donc estimé que ces propos constituaient une incitation à la haine, condamnant le polémiste.
Ce n’est pas une première pour Éric Zemmour qui a déjà été condamné par la Cour d’appel de Paris à 3 000 euros d’amende pour « provocation à la haine envers les musulmans » à la suite de propos tenus en octobre 2014 dans le […]
Le Parisien