Voici encore une condamnation du voyou et délinquant récidiviste Éric Zemmour spécialisé dans le déversement de sa haine envers l’islam et les musulmans et qui malgré cette décision judiciaire claire pour tout le monde continuera le plus simplement du monde à travailler dans tous les médias qui continuent à le payer pour déverser sa haine. Que fait le CSA ? Rien !
Nous vous invitons à envoyer des maintenant et en grand nombre des courriers au CSA afin de leur poser la question. Vous pourrez leur écrire ici en demandant également des comptes aux chaînes télé et radios (RTL) qui lui servent le micro à longueur de journée. L’existence d’Éric Zemmour est à elle seule la preuve du complot, tout le reste n’est que bla-bla.
Jeudi, la cour d’appel de Paris a condamné le chroniqueur et écrivain Éric Zemmour à 5 000 euros d’amende pour « provocation à la haine religieuse » après des propos tenus dans l’émission C à vous en 2016.
Le 6 septembre 2016, dans l’émission C à vous sur France 5, Eric Zemmour avait déclaré qu’il fallait donner aux musulmans « le choix entre l’islam et la France ». Il avait ensuite assuré que l’Hexagone vivait « depuis trente ans une invasion » et que se jouait en France « une lutte pour islamiser le territoire ».
La cour d’appel a estimé que ces deux derniers passages « visaient les musulmans dans leur globalité et constituaient une exhortation implicite à la discrimination ». Elle a donc condamné l’écrivain à 5 000 euros d’amende pour « provocation à la haine ».
Certains propos ne sont plus pénalisés
En juin 2017, le chroniqueur avait déjà été condamné en première instance à 5 000 euros d’amende. Le tribunal correctionnel de Paris avait alors déclaré que ces propos étaient d’une « gravité incontestable ».
Mais des extraits de son intervention, condamnés en premier lieu, n’ont pas été retenus en appel. Notamment un passage où Eric Zemmour déclarait : “tous les musulmans, qu’ils le disent ou qu’ils ne le disent pas” considèrent les djihadistes comme de « bons musulmans ». Selon la cour d’appel, cette dernière phrase ne contient « pas d’exhortation, même implicite, à la provocation à la haine, telle que la nouvelle jurisprudence » l’entend. Une « incitation manifeste » ne suffit plus à être jugé pour « provocation à la haine » : il faut, depuis 2017, qu’il y ait eu un véritable « appel » ou une « exhortation ».Éric Zemmour a déjà été condamné en […]
L’Express / BFMTV