C’est un très joli signe, un bon début de présidence, Macron a préfacé le livre d’un escroc, d’un politique voyou qui a été condamné en appel pour prise illégale d’intérêts dans des marchés publics passés en 2002 et 2003 et condamné à 6 mois de prison avec sursis, 60 000 euros d’amende et un an d’inéligibilité le 20 février 2007 ! Il était bon de le rappeler vu qu’il a pour projet de moraliser la vie publique des politiciens de l’Hexagone. Il commence bien le bankster…
En novembre 2004, après l’envoi d’une lettre anonyme sur l’existence d’emplois fictifs au conseil régional d’Île de France, il est jugé avec son épouse, Dominique Le Texier, pour prise illégale d’intérêts dans des marchés publics passés en 2002 et 2003, entre le conseil régional et les sociétés de communication Image Publique, Sertis et LM Festivals, employant Dominique Le Texier. Il est condamné à 6 mois de prison avec sursis, 60 000 euros d’amende et un an d’inéligibilité le 20 février 2007 par le tribunal correctionnel de Paris puis la peine est confirmée en appel le , hormis l’inéligibilité. Source : Wikipedia.
Le président de la République a écrit le texte en une heure, le soir de son élection.
Que faire quand on vient d’être élu président et qu’on est victime d’insomnie? Boire une tisane, écrire un livre ou… écrire une préface? C’est l’activité à laquelle Emmanuel Macron s’est adonné le soir de son accession à l’Élysée, le 7 mai dernier.
Fraîchement élu, le président de la République a écrit “un texte de trois pages”, entre 2 et 3 heures, “alors que l’excitation de sa victoire l’empêchait de trouver le sommeil”, peut-on lire ce vendredi dans les colonnes du Parisien. Transporté par l’excitation générale, grisé par son discours devant la pyramide du Louvre, Emmanuel Macron a mis à profit cette insomnie pour écrire.
Une biographie de Michel Rocard
Le texte constitue la préface du livre de Jean-Paul Huchon, C’était Rocard, paru mercredi aux éditions de l’Archipel. Dans cette biographie, l’ex-président PS de la région Île-de-France retrace le parcours de l’ancien Premier ministre, dont il fut le directeur de cabinet de 1981 à 1985.
En décembre dernier, Jean-Paul Huchon avait notamment dit du meeting d’Emmanuel Macron à Paris que l’événement avait quelque chose de “très rocardien”. En janvier, il s’était à nouveau affiché…