Les trois ce sont évidemment les États-Unis (les actuels maîtres du monde, en tous cas ceux qui contrôlent financièrement ce pays, et qui visent la reconstruction du Temple de Salomon à Jérusalem), l’Europe (les anciens maîtres du monde) et la Russie (le peut-être prochain maître du monde). La guerre qui n’aura pas lieu est celle que veut déclencher l’OTAN contre la Russie, le Graal pour les maîtres du monde, Graal que ni Napoléon ni Hitler ni personne n’a pu conquérir. Pour ne faire ensuite qu’une bouchée de la Chine. En effet, après avoir cerné la Russie de boucliers anti-missile et de bases militaires (celle du Kosovo en particulier, l’une des plus grandes), l’Alliance des démons atlantiques s’apprête à envoyer un bataillon de 4000 hommes dans les pays baltes, aux portes de la Russie donc, et à installer un système de défense anti-missile en Corée du Sud !…
D’aucuns, et Poutine le premier, craignent une guerre imminente. Surtout après le rapprochement inopiné de la Turquie avec la Russie…, auquel succéda le putsch manqué contre Erdogan, un putsch mené par une faction pro-atlantique de l’armée turque… Les maîtres du monde n’avaient pas prévu l’échec de ce putsch, comme ils n’avaient pas prévu la victoire du Brexit, tout comme ils n’avaient pas prévu la victoire très probable de Donald Trump, qui désormais passe devant Hilarystérique dans les sondages. La mafia otanesque compte sans doute agir avant l’arrivée de Trump au pouvoir en décembre car celui-ci préconise rien de moins que la levée des sanctions contre la Russie et l’abandon de l’OTAN, beaucoup trop coûteux selon lui pour les États-Unis en faillite, ce qui est vrai. Certes, l’assassinat de Trump est toujours envisageable mais cela entraînerait inévitablement dans le pays une guerre civile, les supporteurs de Trump ne sont pas vraiment des gauchistes efféminés…, une guerre qui retarderait et compromettrait l’attaque contre la Russie. La mafia atlantique veut agir avec le toutou Obama, qui est devenu le plus servile des toutous après avoir signé un accord de paix avec l’Iran, un accord négocié dans le plus grand secret, au nez et à la barbe pourris d’Israël… Après ce coup de maître dans le dos de Sion, Obama n’eut alors d’autres choix que d’être totalement servile à Sion où se faire buter. Mais pour mener cette guerre, l’Oncle Samuel, qui n’est plus sûr de pouvoir compter sur la Turquie contre la Russie, doit d’abord s’assurer de l’appui inconditionnel de la France, de l’Allemagne et de l’Angleterre dans cette logique de guerre apocalyptique, où les ennemis de la “démocratie” seront, selon la propagande occidentalo-sioniste, non-seulement le terrorisme “islamiste” (qui a la curieuse particularité d’exterminer les musulmans… ! Étonnant, non ?), mais aussi Bachar, Poutine, l’axe chiite, etc… La série d’attentats en France a achevé de soumettre cet État à cette logique démoniaque. En Allemagne, il faudra encore quelques attentats pour parvenir à ladite soumission, quant à l’Angleterre, je vous fiche mon billet qu’une vague d’attentats s’abattra sur ce pays tout prochainement. Il n’y aura pas d’attentats en Italie, en Grèce, au Portugal ou en Espagne…, ces pays sont dans une telle merde économique et financière… qu’ils ne pourront que se soumettre à ce plan de guerre. Quand à la Saoudie, elle est déjà considérée comme fidèle alliée et défenseur de la “démocratie” ! Oui monsieur. La Saoudie est devenue aux yeux de la vermine médiatique une incontestable grande démocratie depuis qu’elle a annoncé la construction d’une ambassade pharaonique à… Tel-Aviv. C’est malheureusement pas une blague.
Nous allons en Europe vers une “israélisation” de la politique sécuritaire, comme dit Hervé Morin, et de la politique tout court, et vers une “palestinisation” de la vie des Goys, en particulier musulmans, pour sauver le prétendu poste avancé de la démocratie : Israël… Mais cette guerre n’aura pas lieu. Car les maîtres du monde veulent dominer le monde (à partir de Jérusalem), il ne veulent pas le détruire, et eux avec. Ils savent que la Russie aura recours à son arsenal nucléaire dans cette guerre, s’il le faut, même s’ils parviennent à assassiner Poutine, et que cette guerre sera ainsi inévitablement nucléaire, et donc finale. Les maîtres du monde ne se lanceront que dans une guerre “conventionnelle”, qui visera non pas à détruire la planète mais seulement la puissance russe. Ils escomptent que les préparatifs de cette guerre soient bouclés avant décembre pour pouvoir la déclarer avant l’accession de Trump au pouvoir, en provocant Poutine, et en le poussant à la faute, au casus belli. Cependant, Poutine, en bon joueur d’échecs, a montré à maintes reprises (en Ukraine, en Syrie…) qu’il n’était pas dupe des provocations. Ma modeste analyse de cette partie d’échecs apocalyptique m’amène donc à penser que la guerre des trois n’aura pas lieu. Pour autant, on ne saurait trop recommander au Kremlin de se méfier d’une pièce étrangère au jeu d’échecs, une pièce redoutable : le cheval de Troie.