Tous les professionnels de l’enseignement savent que l’introduction de la mixité à l’école puis au collège et enfin au lycée a eu comme résultat de faire drastiquement baisser le niveau général mais surtout des garçons. Inutile de faire de grandes études de sociologie pour le comprendre, l’explosion hormonale un certain âge pousse le garçon à faire l’intéressant devant les filles au lieu de s’intéresser et de se concentrer un peu plus sur le tableau du maître !Malheureusement cette mixité ne peut être remise en cause car elle fait partie de la sacro-sainte Doxa égalitariste, impossible de revenir en arrière. Les responsables au ministère préfèrent de loin former des générations de bourricots que de remettre en cause ce choix stupide.
Pratiquée dans le privé, elle serait de plus en plus plébiscitée par les parents, surtout pendant l’adolescence.
Quels sont les lycées qui produisent le plus de mentions très bien au bac scientifique ? Derrière Franklin à Paris, s’imposent deux établissements… uniquement peuplés de filles : Daniélou à Rueil-Malmaison (92), lycée privé sous contrat, et la Légion d’honneur, public. Deux établissements certes élitistes, mais qui coupent l’herbe sous le pied des Louis-le-Grand, Henri-IV ou Stanislas. La non-mixité aurait donc des effets positifs sur les performances des filles ?
Vaste question et grand tabou en France, où la mixité est assimilée à l’égalité. Auteur en 2003 de l’ouvrage Les Pièges de la mixité scolaire, le sociologue Michel Fize se souvient avoir fait l’objet d’un « lynchage médiatique » pour avoir suggéré de mettre en place, à certains moments de la scolarité, des temps non mixtes. En SVT, lorsqu’est abordée, au collège, la question de la reproduction, ou en sport. « J’étais […]
Caroline Beyer – Le Figaro