Malgré la crise économique ultra violente, l’explosion du chômage et la paupérisation du peuple français, les dirigeants actuels vont se soumettre au diktat Yankee en obligeant les entreprises à boycotter l’Iran suite aux sanctions. Cette folie va priver ces entreprises de beaucoup de revenus et donc aggraver la situation économique, tout ceci pour faire plaisir à l’entité sioniste criminelle et à son délire eschatologique
Des nuages qui s’accumulent à l’horizon au plan commercial autant que géopolitique, tel l’arrêt des activités avec l’Iran annoncé ce matin, mais aussi un premier trimestre décevant…
Tous les ingrédients d’une tempête sont réunis, redoutent les investisseurs qui sabordent l’action de l’armateur ce matin en Bourse. L’armateur danois A.P. Moller-Maersk a raté le consensus au premier trimestre, mais a confirmé ses prévisions pour l’année, tout en annonçant une montée des incertitudes liées aux risques géopolitiques et aux tensions commerciales.Le titre chute de plus de 6% en Bourse de Copenhague, plus forte baisse de l’indice large européen Stoxx 600.Son excédent brut d’exploitation (EBE, Ebitda) est ressorti à 669 millions de dollars (566,8 millions d’euros), en net retrait par rapport au consensus Reuters de 852 millions. Pression sur les tarifs
Les résultats trimestriels du groupe danois ont été affectés entre autres par une pression à la baisse sur les tarifs de fret et par une hausse des coûts unitaires.Son directeur général Soren Skou a souligné que ces résultats n’étaient pas satisfaisants et annoncé qu’il mettrait en place “un certain nombre de mesures de court terme pour améliorer la rentabilité” du groupe.Malgré les résultats décevants, Maersk a dit qu’il attendait toujours un Ebitda 2018 entre 4 et 5 milliards de dollars.Le chiffre d’affaires pour la période janvier-mars est ressorti à 9,25 milliards de dollars, supérieur au consensus de marché qui était à 8,755 millions.L’arrêt des activités en Iran dû au retour des sanctions américainesAu titre des risques géopolitiques et commerciaux, l’armateur danois de navires pétroliers Maersk Tankers a annoncé jeudi la cessation de ses activités en Iran, après la décision de Washington de rétablir les sanctions contre Téhéran.
La Tribune / Reuters / AFP