Encore une autre politicienne marseillaise qui est impliquée dans de drôles d’histoires d’enrichissement louche. Son mari également, Franck Dumontel, a été impliqué dans des histoires louches avec les Guérini… Rappelons aussi que Gaudin et Vassal sont actuellement impliqués dans l’histoire du marché de l’eau.
Bref, une énième mise en cause de politiciens de la cité phocéenne qui ne donne que plus de force au livre de Jean-Baptiste Forray, Les Barons : Ces élus qui osent tout !, ou celui de Madame Marie-France Etchegoin, Marseille, le roman vrai ou bien le fameux Les nouveaux parrains de Marseille de Monsieur Xavier Monnier. Il suffit de lire ces 3 livres pour comprendre que la ville de Marseille est morte, qu’il faut la considérer comme détruite par un séisme de 9 sur l’échelle de Richter et que la seule chose qui reste à faire à faire est de se sauver…
Le domicile marseillais de la sénatrice Samia Ghali (PS) a été perquisitionné mercredi matin, sur ordre du parquet national financier (PNF), a-t-on appris de sources concordantes confirmant une information de France 3 Provence.
Aperçue à la sortie de son domicile en fin de matinée, alors que la perquisition venait de se terminer, la sénatrice-maire a déclaré à l’AFP: “les policiers sont venus me réclamer des documents que je leur ai remis, notamment l’acte notarié d’achat de la maison”.
Samia Ghali qui est également maire PS des 15 et 16e arrondissements de Marseille, est visée depuis mai 2016 par une enquête préliminaire du PNF sur son patrimoine et notamment sur les conditions d’achat de sa villa du quartier chic Roucas-Blanc, sur les hauteurs de Marseille.
L’élue PS des quartiers Nord a assuré mercredi n’avoir “rien à cacher”. “Je suis une élue, une parlementaire, c’est normal dans le cadre de la transparence”. “Je ne suis pas mise en examen ni placée en garde à vue”, a encore déclaré Mme Ghali qui bénéficie de l’immunité parlementaire.
Les investigations du PNF portent aussi sur des subventions accordées par la région Paca, selon une source proche de l’enquête. “On ne m’a pas posé de questions sur ce sujet”, a indiqué la sénatrice.
La perquisition était effectuée par des policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales.
Yahoo News / AFP