Marc Zuckerberg, patron de Facebook, est le seul criminel récidiviste au monde – avec les banksters – qui peut se permettre de transgresser la loi à loisir et autant de fois qu’il veut, il lui suffira de venir montrer sa trogne au Sénat en s’excusant pour continuer à violer encore cette loi de plus belle. C’est du jamais vu ; même du temps de la féodalité, une telle impunité n’existait pas.
Mark Zuckerberg, le patron de Facebook a présenté, mardi 22 mai, ses excuses devant le Parlement européen, comme il l’avait fait devant les parlementaires américains.
Il était entendu pour les lacunes de son réseau social dans la protection des données de ses utilisateurs.
Costume sombre et cravate bordeaux, Mark Zuckerberg est apparu souriant mais un peu raide, assis à côté du président du Parlement Antonio Tajani. « C’était une erreur, et je suis désolée », a reconnu le milliardaire dans son introduction, comme déjà à Washington le mois dernier.
« Il est devenu évident, au cours des deux dernières années, que nous n’avons pas fait assez pour empêcher que les outils que nous avons créés soient aussi utilisés à des fins préjudiciables », a admis Mark Zuckerberg devant les chefs de groupes politiques de l’assemblée.
Promesses d’investissements pour « garder les gens en sécurité »
Le patron de Facebook a assuré que son réseau social partageait entièrement les trois principes au cœur du nouveau règlement européen : « Contrôle, Transparence et Responsabilité ». « Nous allons encore plus nous soumettre à ces règles sévères », a-t-il promis. Facebook offrira le même degré de contrôle à « tous ses clients » dans le monde. Notamment la possibilité d’effacer son historique de la même façon que l’on peut effacer ses « cookies » sur internet.
« Cela va prendre du temps pour faire face à tous les changements à effectuer. Mais je m’engage à le faire bien et à réaliser les investissements nécessaires pour garder les gens en sécurité », a affirmé Mark Zuckerberg.
France TV Info / AFP