Les dessous de la politique anti-musulmane à la mairie de Marseille
Nous nous proposons de vous raconter aujourd’hui, preuves nombreuses à l’appui, les coulisses de la politique municipale marseillaise concernant la communauté musulmane. Nous en avons déjà parlé longuement sur ce site ainsi que celui de l’association COBEMA et ce, depuis une dizaine d’années. Cet article risque d’être long, il sera donc scindé en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture, surtout que le nombre d’informations explosives à venir est important. Nous savons qu’un grand nombre de personnes ont été trompées par les manipulations des gens que nous allons citer ci-dessous, cet article est là pour leur donner des clés de lecture devant leur permettre de ne pas tomber dans leur piège grossier. Elles auront tout le loisir de vérifier la véracité des propos tenus, d’autant que nous fournissons déjà des dizaines de sources écrites ou vidéos.
Ingérence de la Mairie dans les affaires musulmanes
Il s’agit tout simplement d’une ingérence à la fois insupportable et surtout illégale des pouvoirs publics dans la vie de la communauté musulmane marseillaise et dont les conséquences sont connues de tous, puisque nous pouvons citer deux échecs majeurs que l’on peut imputer à cette équipe de pieds nickelés : l’arrêt des festivités de l’Aïd du sacrifice ainsi que l’échec monumental du projet de la Grande Mosquée de Marseille. Nous y reviendrons.
Il faut bien savoir que ce qu’il se passe à Marseille est unique en France puisque ce que vit la communauté musulmane n’est observé nulle part ailleurs, tant sa situation est lamentable. D’aucuns estiment le nombre des citoyens et habitants de la ville à 300.000 âmes ; comment, dès lors, expliquer l’absence de mosquées dignes de ce nom ? Il suffit de voyager un petit peu à travers la France, notamment dans le nord, pour constater qu’effectivement le cas de la cité phocéenne est unique ; c’est du jamais vu.
Certains expliquent que cela est dû à la médiocrité de cette communauté musulmane ; pourquoi pas, toutes les critiques sont à retenir et à étudier, c’est une possibilité comme une autre. Sauf que de notre point de vue, après enquête sérieuse, nous imputons cet échec à l’ingérence intempestive et abusive des pouvoirs publics, toutes autorités confondues, qu’elles soient municipales ou politiciennes pour la plupart, policières, ou autres,… Afin de démontrer cette affirmation, nous allons donner des exemples précis et concrets, citer des noms et dénoncer les coupables.
Les pieds nickelés : l’équipe de Salah Bariki
Le premier coupable de ce désastre reste la mairie dirigée par Jean-Claude Gaudin. Maire indéboulonnable depuis près de 22 ans, mais également sénateur depuis plus de 18 ans, sans compter ses autres charges à la vice-présidence du Sénat et de son parti, Les Républicains, en pleine tourmente et dont on assiste au naufrage. Il faut dire qu’à 77 ans, Jean-Claude Gaudin est un cumulard assumé.
Le maire de la cité phocéenne a monté un cabinet noir, une officine dirigée par Monsieur Salah Bariki. Ce dernier se dit chargé de mission (sic) auprès de la mairie, ce qui ne veut strictement rien dire, du fait qu’aucune indication précise n’est donnée sur l’objet de sa mission ! Selon nos sources, il serait délégué aux ERP ou établissements recevant du public ! Il est néanmoins permis de douter qu’il puisse être en possession des compétences requises pour la gestion des espaces recevant du public car en réalité, il s’occupe exclusivement du culte musulman. Tout ceci ressemble très curieusement à un emploi fictif ou plus exactement à un faux poste créé spécifiquement pour lui et pour faire face à une situation donnée, car une telle mission qui piétine la loi sur la laïcité en se moquant de la non-ingérence du politique sur le religieux, est totalement illégale. Il est vrai que la cité phocéenne, à l’image de beaucoup d’autres villes françaises, s’est illustrée par de nombreux cas d’emplois fictifs comme celui par exemple de Myriam Lamare qui a été payée pendant 11 ans par la mairie sans jamais y avoir mis les pieds. Sans parler de la dernière enquête diligentée par le parquet de Marseille et qui a dépêché la gendarmerie au SAMU social, géré par la municipalité, pour justement soupçon d’emplois fictifs. On se souvient, il y a quelques années, d’un même type d’affaire concernant un médecin qui était payé sans jamais avoir exercé au SAMU Social…
Le site Internet de la mairie le cite comme fondateur et responsable du projet Marseille Espérance censé rapprocher les différents cultes de la cité phocéenne. En réalité, c’est une « coquille vide » comme l’explique très bien dans cet article de La Provence le pasteur Jean-Marie de Bourqueney. Plusieurs membres de Marseille Espérance n’habitent même plus en France comme le père Mesrop Barsamyan ou le grand rabbin Jacques Ouaknin, selon le même journal. Leur activité consiste à réaliser un gala annuel totalement inutile, le tout n’étant que gesticulations, perte de temps et gaspillage d’argent public. Preuve en est, personne ne connaît cette structure ; on vous invite chaleureusement à poser la question aux habitants de la ville.
Nouvelle structure montée par Monsieur Salah Bariki, baptisée APRES France, qui n’a d’existence réelle que sur Facebook puisqu’elle est introuvable sur le journal officiel des associations ainsi qu’à la préfecture de Marseille. D’ailleurs, nous pouvons trouver plusieurs significations à l’acronyme APRES sur leur page Facebook : Alliance pour le Progrès Éducatif et Social ou bien Alliance pour le Progrès et la Rénovation Sociale ! L’article de la Provence signé par Sophie Manelli invente même une autre signification à l’acronyme : Alliance pour le Progrès Économique et Social. C’est à vous de choisir… ce qui en dit long sur le sérieux de la manœuvre. Quant à la dynamique de leur page Facebook, elle est totalement inexistante puisque des articles postés ne cumulent guère plus de 3 ou 5 likes et si vous voulez en savoir plus, ces likes proviennent d’eux-mêmes comme le prouve cette capture d’écran. Ils ont beau expliquer que leur mouvement possède une dynamique importante, un engouement populaire, un intérêt certain… la réalité les rattrape assez vite et on s’en rend aussitôt compte lorsque l’on jette un œil sur leur page Facebook.
Cette structure a été créée il y a cinq ans – en 2012 – par son factotum Omar Djellil afin de le soutenir dans ses candidatures politiques. Aussi vide que le crâne d’une candidate de télé réalité, cette structure se contente chaque année de réaliser une soupe de l’amitié le 31 décembre puis un gala en janvier afin de distribuer des prix (sic). On a beau chercher, on ne trouve rien d’autre ! Pourtant, ce collectif collectionne les soutiens des politiques de la municipalité comme Madame Arlette Fructus ou tout simplement Madame Martine Vassal présidente de la région… sans omettre de citer un relais assez miraculeux au journal La Provence alors que Monsieur Omar Djellil est black-listé voire grillé auprès de ce journal depuis qu’il a perdu son procès en diffamation contre le journaliste Frédéric Guilledoux en 2014 ! Relais journalistique très curieux pour une association qui fait une soupe annuelle tandis que d’autres qui en réalisent plusieurs par semaine n’ont jamais eu droit à une telle couverture médiatique. Mais vous comprendrez très vite pourquoi ce passe-droit, ce piston à la marseillaise, lorsque vous découvrirez que l’un des membres de ce collectif informel n’est autre que le journaliste, grand reporter marseillais, José d’Arrigo dont vous pouvez constater justement la présence au dernier gala de l’APRES France. Il est intéressant de noter l’appartenance à ce groupe, de la conseillère municipale Fazia Hamiche, restauratrice qui possède le Scoop, le restaurant situé juste en face de La Provence, sur l’avenue Roger Salengro. Appartient également à ce collectif Monsieur Clément Yana, ex-président du Crif marseillais au début des années 2000. Ce membre s’est illustré en 2013 pour avoir été épinglé par la CRC ou Chambre Régionale des Comptes comme le relate un article du Figaro : “Elle [ndlr : la CRC] épingle l’intervention d’un conseiller « sans statut officiel », en l’occurrence Clément Yana, ancien président du Crif, qui est intervenu dans la procédure d’instruction des subventions, dont certaines à une association présidée par sa femme…” !
Justement, cette bulle politique de l’APRES France a organisé son dernier gala le 22 janvier dernier au lycée l’Olivier-Robert Coffy dans le 12e. Cette cérémonie était censée récompenser les forces vives de Marseille, ce qui relève du culot le plus fou lorsque l’on connaît la vivacité de cette structure plus proche du tracé plat que de toute autre dynamique réellement productive. Mais grâce à cette cérémonie et aux très nombreuses photos inespérées postées sur leur page Facebook, nous avons pu sélectionner quelques-unes afin de vous démontrer la véracité des propos écrits ci dessus. Il serait curieux d’ailleurs de savoir comment et pourquoi un lycée public prête ses locaux pour qu’un collectif politisé, issu de la majorité municipale, puisse réaliser ses activités de subversion !
Que se passe-t-il concrètement à Marseille ?
Le cas Omar Djellil
Nous allons commencer par un événement qui n’est pas passé inaperçu puisqu’il s’agissait d’une campagne de diffamation menée pour discréditer la candidature d’Alain Juppé à la primaire de la droite et du centre. Monsieur Omar Djellil s’est illustré dans cette campagne par un grand enthousiasme, au point d’avoir été cité par Claude Askolovitch dans le magazine Slate ce 20 novembre 2016 : “On cite ici un site étonnant dans ce paysage: Europe-israel, souvent qualifié « d’ultra sioniste », défendant Israel et les juifs sur une ligne islamophobe, qui mène la campagne anti-Oubrou avec comme témoin à charge un militant musulman au bavardage d’aventurier, Omar Djellil, connu pour avoir fréquenté le FN à Marseille, désormais témoin clé d’une intoxication.” Le journaliste l’accuse donc d’intoxication. Nous savons tous que Jean-Claude Gaudin soutenait Nicolas Sarkozy lors de cette primaire et que Monsieur Alain Juppé avait été longtemps favori. Tout s’explique ainsi…
Il est vraiment très curieux, d’observer dans ce montage associatif bancal, des gens de l’opposition aussi opposés les uns les autres, puisque l’on peut voir un ex-président du Crif bras dessus, bras dessous avec M. Omar Djellil célèbre à Marseille pour ses déclarations à propos de Jean-Marie Le Pen. Fils et petit-fils de harki, il est même allé chanter avec lui au cimetière de Mas Thibert dans une cérémonie rendant hommage au harki Bachagha Boualem Le chant des Africains ! Marche militaire qui rappelle la colonisation de triste mémoire et le refus de certains de libérer l’Algérie ! Il était même décrit comme « le chant de l’OAS », les séditieux criminels sanguinaires responsables de la mort de milliers de civils au point où l’état français en a interdit le chant. Du coup, il est curieux de voir ce monsieur appeler à l’amitié entre les peuples tout en entonnant un chant militaire et guerrier rappelant de mauvais souvenirs pour tous ! On le voit d’ailleurs chanter à la fin de cette vidéo et surtout se rapprocher le plus près possible de Jean-Marie Le Pen afin de figurer sur la photo. On remarque également la présence de l’élu FN Stéphane Durbec qui continue d’ailleurs aujourd’hui à liker les postes de Monsieur Omar Djellil.
Omar Djellil a rencontré plusieurs fois Monsieur Jean-Marie Le Pen le présentant comme un homme politique « sérieux et respectable » pour lequel il a appelé à voter aux élections cantonales ! Il déclarera d’ailleurs à la presse : « La rencontre fut inoubliable. Un charisme hors norme, un raffinement et une culture générale, bien loin des réalités médiatiques qui ont martelé mon esprit pendant tant d’années de conditionnement » !
JM Le Pen rend hommage au Bachaga Boualem par bucch
Faut-il rappeler que Monsieur Djellil est connu à Marseille comme étant la girouette politique par excellence, puisqu’il a quasiment appartenu à tous les partis, à commencer par le PS, puis l’UMP, le Modem, le Front National… ce qui en dit long sur son instabilité. On peut également rappeler que Monsieur Djellil est à la tête d’un nombre incalculable d’associations à commencer par APRES France, l’ARE, Présence Citoyenne, Mosquée At-Taqwa… D’ailleurs, nous pouvons également lire dans un compte-rendu du gala annuel 2017 de l’APRES que Monsieur Omar Djellil est désormais présenté comme étant un “imam” ! Première nouvelle surtout lorsque l’on connaît son niveau linguistique en arabe pour l’avoir entendu deux ou trois fois s’exprimer dans ses vidéos. Mais il faut bien comprendre qu’à Marseille tout est possible, n’importe qui peut devenir imam, ce qui aggrave encore plus le cas Salah Bariki qui doit distribuer des pochettes surprises avec diplôme d’imamat.
Malgré son acharnement et celui de ses soutiens, force est de constater que Omar Djellil n’existe pas ou plus exactement, qu’il n’existe que dans leur plan échafaudé dans les arrières bureaux municipaux. À titre d’exemple, son blog qui existe pourtant depuis une dizaine d’années, cumule à peine 387 000 visites ce qui fait moins de 100 visites par jour et ce malgré une actualité riche et en dépit des différentes polémiques, des articles de presse ou des passages télé au niveau de la télé locale marseillaise (LCM) !!! Il a même fait campagne l’année dernière pour le Medef lors des élections de la chambre de commerce !!! Encore une fois, ceci est une preuve supplémentaire de la réalité de cette mascarade politique locale. Pire encore, sa page Facebook “Omar Djellil – Le Combat” est likée par… 108 personnes !
M. Omar Djellil décrit par La Provence comme un citoyen modèle (sic) n’ignore pas toutes les casseroles qu’il traîne depuis des années comme nous l’avons déjà relaté sur ce site. Il a, comme rappelé plus haut, perdu un procès en diffamation contre un journaliste du même journal. Une plainte a été déposée contre lui pour avoir frappé la candidate aux législatives 2012, Madame Marie Batoux. Il est également impliqué dans une drôle d’affaire de faux témoignages destinés à faire chuter Monsieur Patrick Mennucci. On peut citer également une histoire de violence et de bagarre contre un autre acteur associatif marseillais de l’UFM, Monsieur Nordine Hagoug. Sans parler des rumeurs plus que persistantes puis confirmées, de mains courantes déposées contre lui pour violences conjugales. Bref, un citoyen modèle dont il faut promouvoir coûte que coûte le travail associatif salutaire…
Nous avons déjà évoqué sur ce site ce personnage interlope et avons dénoncé ses agissements puisque nous avions affirmé qu’il travaillait comme indicateur pour la police et plus exactement les Renseignements Généraux. Nous avions même cité à l’époque un nom, celui d’un certain Didier Bernis. Dieu merci, il nous a été livré sur un plateau puisqu’il figure sur la photo de Une de cet article à la droite de Monsieur Clément Yana qui est lui-même à la droite de Monsieur Ali Dahmani, ce dernier étant à la droite de Monsieur Salah Bariki. La boucle est maintenant bouclée. Le Didier surveille mais nous le surveillons également ! Nous sommes d’ailleurs à la recherche de son patronyme.
Rappelons que Monsieur Salim Laïbi a déposé plainte contre M. Omar Djellil pour diffamation à trois reprises depuis 2012, en raison des accusations lancées contre lui par M. Omar Djellil sur Internet dans de nombreuses vidéos, prétendant qu’il avait détourné 250.000 € de subventions publiques pour la réalisation d’un centre de soins en Algérie. Madame la juge d’instruction parisienne, malgré les nombreuses convocations adressées à M. Djellil, a eu beaucoup de mal à pouvoir l’entendre !!! Est-il protégé par ses alliés haut placés marseillais ? Tout porte à le croire ! L’affaire est toujours en cours d’instruction et il aura à s’en expliquer devant la justice. Ajoutons que M. Omar Djellil continue de harceler le Dr Laïbi au niveau de l’Ordre des chirurgiens dentistes ainsi que du TGI avec des plaintes loufoques de 100 pages – on se demande bien qui les écrit ! – qui ont été rejetées.
Le cas Salah Bariki
En fait, c’est par lui que nous aurions dû commencer. Son cas a été traité très tôt par l’association COBEMA puisqu’il a été dénoncé comme étant un agent des RG dont la mission était de gérer les 60 lieux de prière marseillais. On avait publié à l’époque un dossier d’une vingtaine de pages dans lequel il décrivait justement tous les imams de Marseille selon des critères physiques et intellectuels, ce qui avait eu pour effet, à l’époque, de le rendre fou de rage (Le PDF de ce rapport est enfin disponible ici, pensez à le télécharger et le garder précieusement, c’est un véritable bijou !). On se souvient d’un épisode très instructif qui donne une idée sur son état d’esprit. Ayant émis le vœu de nous rencontrer, il s’est présenté dans les locaux de l’association afin de prendre langue avec la direction. Après que ce que nous pensions de lui, lui eut été clairement dit, il est très vite reparti, quittant dare-dare les lieux. Pour sûr, il n’avait pas l’habitude de rencontrer des gens qui ne demandaient rien, n’avaient rien à se reprocher et qui ne fussent pas des parasites associatifs comme Marseille en compte tant, hélas. Depuis, c’est la guerre.
Il faut bien comprendre qu’il est derrière l’échec monumental du projet de la grande mosquée de Marseille. On sait tous que Jean-Claude Gaudin a toujours été contre cette construction et qu’il a joué des rivalités internes afin de faire capoter le projet et de faire en sorte qu’il ne puisse à jamais voir le jour. Nous savons tous que Monsieur Salah Bariki était derrière le coup d’état réalisé au sein de l’association qui s’occupait du projet de cette grande mosquée, destituant son ex-président, feu Nordine Cheikh – paix à son âme – pour le remplacer par l’imam controversé Abderrahmane Ghoul. Il faudrait écrire un pavé de plusieurs centaines de pages pour expliquer toutes les histoires abracadabrantesques ayant émaillé le long chemin sinueux des 15 dernières années, aboutissant à l’échec lamentable de ce projet. Un projet qui est passé d’un budget de 2 millions à 22 millions d’euros par on ne sait quel tour de magie. Bref, nous accusons le cabinet noir du maire Jean-Claude Gaudin d’être le seul et unique responsable de cet échec retentissant, à cause précisément de sa politique d’ingérence illégale et de sabotage.
On peut également revenir sur l’échec lamentable de l’organisation des festivités de l’Aïd el-Kébir puisque Monsieur Salah Bariki se vantait devant témoins d’avoir mis un terme à l’événement organisé par les chevillards marseillais au niveau des abattoirs. L’association COBEMA ayant organisé l’accueil du public a très vite intégré le fonctionnement de l’organisation de cet événement très important qui durait deux à trois jours et qui arrivait à satisfaire plusieurs milliers de personnes, en assurant la disponibilité d’agneaux abattus rituellement. Là encore, les services de la mairie dirigés à l’époque par Madame Martine Vassal ainsi que Monsieur Salah Bariki ont brillé par leur incompétence. Le résultat est connu de tous aujourd’hui puisque cet événement n’existe plus. Alors qu’il aurait pu devenir, comme nous le souhaitions à l’époque, un grand moment festif, bien organisé, accueillant en toute convivialité et dans la bonne humeur tous les Marseillais de toutes confessions afin de donner une meilleure image de la communauté musulmane, un moment de partage rare. Il faut malheureusement se rendre à l’évidence que c’est l’inverse qui s’est produit à cause de l’acharnement des autorités municipales qui ont délibérément saboté toute action qui se voulait positive.
Selon nos sources, c’est Monsieur Salah Bariki qui imposa Monsieur Omar Djellil au SAMU de Marseille via son président René Giancarli, ancien flic à la réputation d’intégrité, qui regrettera certainement ce choix qui s’avérera fatal comme tout ce qui tourne autour du factotum de Bariki.
La question qui se pose aujourd’hui et qui est illustrée parfaitement par l’image en Une est la suivante : que font Messieurs Salah Bariki, Clément Yana du Crif ainsi qu’un agent des renseignements intérieurs, répondant au prénom de Didier, côte à côte, assis dans un gala qui se dit associatif et non politisé ? Il est évident que le groupuscule APRES France n’est qu’une émanation municipale de Jean-Claude Gaudin, il suffit pour s’en convaincre de voir leurs soutiens politiques et les nombreuses photos postées sur leur page Facebook avec Madame Martine Vassal, 2e adjointe au maire et présidente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône. Avec Madame Arlette Fructus, 10e adjointe au maire de Marseille qui a dans son équipe justement Mme Fazia Hamiche, membre de l’APRES France comme conseillère municipale du 8e secteur de Marseille. On peut y voir également Mme Solange Biaggi, 4e adjointe au maire. Des likes de Madame Nora Preziosi…
Ce comportement clairement délictueux et l’ingérence de cette police politique doivent cesser immédiatement. À cet effet, nous invitons tous les Marseillais conscients de ces dérives et désireux d’y mettre fin une bonne fois pour toutes, à nous rejoindre. La justice doit mettre de l’ordre dans ces affaires occultes, c’est impératif pour le futur de Marseille.
À suivre : le traitement des autres protagonistes de cette manipulation politique réserve des surprises encore plus graves.