Nous reprenons ici cet article de France TV info afin de partager une réflexion qui démontre que le système de santé occidental est complètement à la dérive et fait preuve dans cette affaire d’une grande stupidité intellectuelle. Nous en avons déjà parlé à maintes reprises, les perturbateurs endocriniens sont extrêmement toxiques et cancérigènes ; on sait maintenant qu’ils perturbent le comportement des enfants et leur relation avec l’entourage. Au lieu de mettre fin immédiatement et sans condition, à cet empoisonnement de masse, nos politiques abrutis, imbéciles et corrompus, préfèrent ne rien faire. Du coup, une autre caste d’imbéciles composant le système de santé géré par des professeurs émérites sur-diplômés et une armée de médecins bac + 10, va préférer mettre sous traitement ces jeunes enfants, sous Ritaline par exemple !
Ainsi, croyant soigner des enfants déjà empoisonnés, on fait le choix de les empoisonner avec plus de poison. Dans les deux cas, les entreprises qui fabriquent ces poisons, augmentent d’une manière faramineuse leurs gains, leur courbe de croissance étant parfaitement parallèle à celle du nombre de malades ! Ces pauvres petits anges dont la santé est détruite par des choix civilisationnels suicidaires sont considérés comme asociaux ! Du coup, comme nous l’explique Enfants sages sur ordonnance (2006), Big Pharma ayant réalisé aux États-Unis des tests sur tous les enfants, a réussi de la sorte à mettre 10 % des gamins sous Ritaline ! Vous imaginez bien que le sentiment de culpabilité des parents va les inciter à écouter les médecins, se pliant à tout ce qu’ils ordonnent.
Lorsque la mère est exposée à des perturbateurs endocriniens durant sa grossesse, ces composés agissent ensuite sur ses enfants masculins.
Les composés “les plus préoccupants à cet égard” sont le bisphénol A, le triclosan et le DBP, selon l’Inserm.
L’exposition pendant la grossesse de la mère à certains phénols et phtalates, considérés comme des perturbateurs endocriniens, est associée à des troubles du comportement des garçons entre 3 et 5 ans, révèle une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale français(Inserm), vendredi 29 septembre. Les composés “les plus préoccupants à cet égard” sont le bisphénol A, le triclosan et le di-n-butyl phtalate ou DBP, précise un communiqué.
Le bisphénol A a été interdit de tous les contenants alimentaires en France en janvier 2015, une date ultérieure à la réalisation de cette étude. Le triclosan est un agent antibactérien retrouvé dans certains dentifrices et savons. Le DBP est, lui, utilisé comme plastifiant dans les plastiques de type PVC, certaines colles, vernis à ongles et laques pour les cheveux. Des études toxicologiques in vitro et chez l’animal ont mis en évidence que toutes ces substances étaient des perturbateurs endocriniens, susceptibles d’interagir avec des systèmes hormonaux impliqués dans le développement du système nerveux central.
Des troubles relationnels chez les enfants
L’étude, menée par l’équipe de Rémy Slama, de l’Institut pour l’avancée des biosciences à Grenoble, a porté sur 529 petits garçons de la cohorte mère-enfant Eden, mise en place par l’Inserm. Les femmes enceintes de cette cohorte ont été recrutées entre 2003 et 2006. Pendant leur grossesse, ces femmes ont vu leur urine analysée pour évaluer leur exposition aux phénols et aux phtalates. Il est apparu que 70 à 100% des femmes de la cohorte Eden étaient alors exposées à des niveaux détectables de différentes substances.
Aux troisième et cinquième anniversaires de leur enfant, elles ont rempli un questionnaire évaluant certains aspects de leur comportement comme l’hyperactivité, les troubles émotionnels et les troubles relationnels. L’étude montre que l’exposition au bisphénol A était associée à une augmentation des troubles relationnels à 3 ans et des comportements de type hyperactif à 5 ans. Pour les chercheurs, “ce travail confirme que les effets du bisphénol A sur le comportement, observés chez l’animal de laboratoire, se retrouvent chez l’humain à des expositions faibles, probablement inférieures à celles préconisées par l’autorité européenne de sécurité alimentaire” (EFSA), indique l’Inserm.
Le DBP était, lui, associé à davantage de troubles émotionnels et relationnels, incluant les comportements de repli, à l’âge de 3 ans, mais pas à 5 ans en ce qui concerne les troubles émotionnels. Les associations entre ce composé et le comportement avaient déjà été mis en évidence dans des études précédentes chez de jeunes garçons et chez l’animal. L’étude a enfin montré une association entre le triclosan et une augmentation des troubles émotionnels à 3 et 5 ans. Il s’agit de la première étude évaluant les effets de ce composé sur le comportement.
France TV Info / AFP