Voici le vrai visage de la libération de la femme occidentale, le visage hideux de la télé réalité et du spectacle médiatique continu, le visage de la prostitution et du proxénétisme, le visage de l’argent roi et de la drogue, le visage abominable de pratiques sexuelles immondes comme la scatophilie… Nous n’allons pas faire semblant d’être étonnés par ces révélations, car autant de médiocrité et de bêtise ne pouvaient finir que de la sorte… Vous pouvez apprécier dans la vidéo ci-dessus la blague de Mustapha El Atrassi qui fait de l’humour sur la scatophilie qui en réalité ne le choque pas plus que ça, car il est au courant de ces pratiques certainement.
On imagine que la justice va immédiatement se saisir de cette affaire et essayer de démanteler ces réseaux de prostitution et de proxénétisme médiatiques. À côté de cette histoire, l’affaire Morandini fait pâle figure, Il y a eu pourtant une enquête judiciaire ! Affaire à suivre…
Une jeune femme a dévoilé les coulisses peu reluisantes de la téléréalité dimanche dans «Les terriens du dimanche» sur C8, évoquant la prostitution de certaines candidates du petit écran.
« Il y a de l’escorting, des candidates de téléréalité qui sont prêtes à tout, et plus elles passent à l’écran, plus elles peuvent vendre leurs prestations ». Dimanche sur le plateau des « Terriens du dimanche », Jeremstar a une nouvelle fois mis le doigt sur un phénomène qui serait, selon lui, largement répandu dans le monde de la téléréalité : la prostitution des candidates. Après avoir évoqué le sujet dans son autobiographie, le Youtubeur a interviewé une candidate du petit écran qui aurait été recrutée par un réseau de prostitution.
La jeune femme, qui aurait fait plusieurs émissions de téléréalité, a livré son témoignage visage dissimulé et voix déformée. Une autre candidate de téléréalité lui a un jour envoyé un message pour lui demander de lui envoyer des photos d’elle en maillot de bain pour un travail à Dubaï. Elle s’est alors retrouvée dans « une sorte de harem avec que des filles en maillot de bain, d’autres nues. Il y a un homme qui arrive et puis les filles se livrent à des actes sexuels, à des fellations (…) lui passe de fille en fille », raconte-t-elle. Si elle explique avoir refusé les avances de cet homme, elle précise qu’on lui a proposé 15 000 euros pour passer une semaine à Dubaï. « J’aurais pu être payée plus je pense si j’avais fait autre chose », continue-t-elle avant de se dire « choquée » de voir des starlettes de téléréalité avec qui elle a fait des tournages tomber dans ce genre de pratiques. « Elles s’adonnent même à la scatophilie ».
Une mystérieuse « mère maquerelle » et des « vieux cochons »
Elle raconte ensuite un autre souvenir, dans une villa à Casablanca. En entrant dans les lieux, elle a assisté à une « partouze ». « J’ai compris que j’avais mis les pieds dans un réseau de prostitution », ajoute-t-elle, révélant l’existence d’une « mère maquerelle », une candidate qui ferait de la téléréalité depuis des années. Elle recruterait les nouveaux visages de la téléréalité pour les « vendre et prendre des commissions sur elles ».
Ce phénomène serait en pleine expansion si l’on en croit la jeune femme anonyme. Elle estime qu’« une fille sur dix » de la téléréalité se prostituerait. « Certaines font de la téléréalité pour se vendre plus cher parce qu’elles sont déjà prostituées de base. Les prix augmentent, tu es sollicitée par plus de monde, tu as plus du popularité, donc on t’appelle ».
De son côté, Jeremstar a regretté que la téléréalité soit devenue une sorte de « grand catalogue de prostitués », dénonçant les hommes qui profitent de ces femmes « prêtes à tout pour avoir un avenir heureux ». « On a des vieux cochons qui vont appeler les productions et les chaînes de télé en disant : « Tiens, celle-là elle est bonne. Ramène-la moi, je la veux ». Cette dénonciation est également pour lui l’occasion de lancer un appel aux plus jeunes qui rêvent de suivre le même chemin que les candidates. « Quand vous voyez ces candidates de téléréalité avoir un train de vie exceptionnel sur les réseaux sociaux, dans des jets privés, dans des hôtels de luxe, décorées comme des sapins de Noël avec des sacs de marque, ce n’est pas la téléréalité qui permet ça. C’est qu’il y a un business souterrain qui est tabou ». Jeremstar se refuse néanmoins à dévoiler les identités de ces filles. Seul indice, la « mère maquerelle » évoquée par la […]
Paris Match