Tant que la caste médicale fera le forcing en niant toute relation entre les vaccins et les effets secondaires graves – comme si ces derniers apparaissaient comme par magie – la défiance populaire sera là. D’autant que chacun de nous a le droit de disposer de son corps et de sa santé et que si on préfère prendre le risque du cancer c’est notre problème. Tant que l’argent sera roi et que les sociétés du CAC des 40 voleurs feront la loi et non plus la science, il est préférable et judicieux d’éviter les recommandations des salariés de l’industrie.
Cadeau de Noël au bon sens : les taux de vaccination HPV s’effondrent au Japon (+ que logique vu la dangerosité évidente !)
Le « Wall Street Journal » du 28 novembre 2016, portant comme titre : « Arrêter la progression du mouvement anti-vaccin au Japon » regrette que la santé des femmes japonaises soit de plus en plus mise en danger suite à une politique de santé qui s’inspirerait de théories conspirationnistes, d’ingérences politiques erronées et de précautions bureaucratiques suscitées par la publication de prétendus effets secondaires.
Il en a résulté que les filles en âge de se faire vacciner n’ont plus voulu recevoir le vaccin.
C’est ainsi que la couverture vaccinale est tombée de 70% à moins de 1%.
Le journal rappelle que le cancer du col de l’utérus constitue une vraie menace pour les femmes. Il y aurait grosso modo au Japon quelque 9.300 cas de cancer du col et 3.000 décès.
Le journal précise que l’efficacité et la sécurité du vaccin a plusieurs fois été démontrée. Cette vaccination est aussi recommandée par l’OMS et les sociétés médicales japonaises.
En dépit de tout ceci, le Dr Shuichi Ikeda, désigné par le gouvernement pour enquêter sur les soi-disant effets secondaires du vaccin HPV a déclaré à la télévision que « sans aucun doute, il existait des signes patents de troubles cérébraux »…
Le jour suivant, les grands journaux japonais publiaient des titres alarmistes.
Un mois plus tard, le MHLW publiait lui aussi un article pour réfuter les déclarations du Dr Ikeda.
C’est la politique qu’avait suivie le gouvernement à propos de l’étude du Dr Ikeda et l’hésitation de Tokyo face à la controverse qui ont permis que des doutes non fondés au sujet de la sécurité du vaccin puissent se répandre.
L’exemple du Japon a, non seulement isolé le pays de la communauté médicale mondiale, mais a aussi encouragé les opposants à la vaccination à démanteler les efforts déployés pour protéger les femmes à l’échelle mondiale.
C’est ainsi qu’au Danemark, après que le médecin japonais Kusuki Nishioka ait déclaré à la télévision que la vaccination pouvait provoquer des troubles cérébraux que les taux de couverture vaccinale sont tombés de 80% à 20%. C’est ainsi que le mouvement anti vaccinaliste s’est étendu au Japon.
Le 27 juillet, 63 jeunes femmes ont porté plainte contre le gouvernement japonais et les fabricants de vaccin dans différents districts. Ces jeunes femmes demandent à être dédommagées pour les soi-disant effets secondaires du vaccin.
Les médias ont couvert ces procès, mais ont ignoré les preuves médicales. Ceci a favorisé une crédibilité disproportionnée par rapport aux arguments des plaignantes.[…]
Riko Muranaka, médecin et journaliste médical, Source : Wsj.com