La question qui se pose est très simple : qu’est-ce que l’on a à faire de la sexualité de ce monsieur, ça intéresse qui exactement ? De surcroît, on a l’impression qu’il essaie de se victimiser, de nous faire croire qu’il a trop souffert alors que c’est un député de la république qui touche pas moins de 15 000 € par mois et qui a même le droit de légiférer ! Il est où le problème exactement ? En réalité il y a tellement de membres de la communauté LGBT dans les deux Assemblées qu’ils vont dépasser de très loin le pourcentage qu’ils représentent parmi le peuple et ça va devenir problématique puisque non représentatif !
En réalité ce sont eux qui passent leur temps à parler de leur sexualité en nous accusant de le faire avec cette inversion accusatoire caractéristique des lobbys !
Le député La République en marche de Charente-Maritime devient le 8e député ouvertement LGBT de l’actuelle Assemblée nationale…
Ils sont huit, désormais. Huit députés en exercice à être ouvertement lesbienne, gay ou bisexuel. Le tout dernier a fait son coming out médiatique ce mercredi : il s’agit de Raphaël Gérard, député La République en marche de la quatrième circonscription de Charente-Maritime. Dans une interview en ligne au magazine LGBT Têtu, le député macroniste dit revendiquer un droit à « l’indifférence » mais reconnaît que « la route est longue » et donc qu’« un peu de visibilité peut aider ».
Il intervenait en tant que l’un des coauteurs du rapport sur les LGBT phobies en Outre-mer. Un rapport qui fait apparaître à la fois une homophobie et une transphobie plus forte qu’en Europe mais aussi une parole beaucoup moins libérée : les victimes osent encore moins qu’ailleurs porter plainte.
Quarante-cinq députés ouvertement LGBT au Royaume-Uni
Avec ce coming out médiatique, Raphaël Gérard rejoint donc sept autres élus : les députés d’extrême droite Bruno Bilde (Pas-de-Calais) et Sébastien Chenu (Nord), le député Agir (ex-LR) Franck Riester (Seine-et-Marne), le socialiste Luc Carvounas (Val-de-Marne) et les députés LREM Pacôme Rupin (Paris) et Laurence Vanceunebrock-Mialon (Allier).
Cette dernière est seulement la deuxième députée ouvertement lesbienne de toute l’histoire de la République. Mais, sept, c’est aussi très loin du nombre de députés ouvertement LGBT au Royaume-Uni, par exemple : le Chambre des […]