On apprend que l’homme d’affaires algérien Ali Haddad, président du Forum des chefs d’entreprises et membre actif du Rotary Club Algérie a offert 20 000 cartables aux élèves nécessiteux, alors qu’il est lui-même accablé de dettes contractées auprès des banques algériennes et que ses contrats ne sont pas honorés à temps. C’est cela le paradoxe algérien. À travers cette action de propagande qui se veut caritative et philanthropique, il semble que le sieur Haddad veuille présenter son club sous son meilleur jour, dissimulant sciemment son côté occulte et pernicieux. Il n’échappe en effet à personne qu’il s’agit là d’une organisation internationale cryptomaçonnique, dont la présence en Algérie ne relève pas d’une quelconque œuvre de bienfaisance mais du souci de mettre en place une cinquième colonne au service de la françafrique et de l’atlantosionisme, prête à servir le maître et à sacrifier les intérêts supérieurs du peuple algérien et de la nation. Le loup est dans la bergerie.