Voici un autre témoignage d’expérience nabienne décevante… Il se peut que cela serve à quelques jeunes écervelés susceptibles de tomber sous le charme de l’escroc mystique… Pour ma part, je ne peux que vous réserver quelques surprises assez… gigantesques, concernant l’imposture du nabot. On va bien rigoler. Qu’il sache qu’il n’y a plus de limite à ma réaction, plus aucune. Tu vas saigner du nez mon petit…
PS :
Attention, je vais devoir poster les captures d’écran de ta demande de restitution du tableau de Mingus car je lis sur ton site (dont je suis l’initiateur) qu’il n’en a jamais été question ! ATTENTION, dernier rappel. On va voir qui est honnête et droit dans cette affaire.
« Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité. »
Talleyrand
Après un mois de digestion difficile, je prends enfin le temps, bien que j’estime en avoir déjà perdu beaucoup, d’écrire un peu sur ma « rencontre » avec toi, Nabe. J’écris pour rétablir la vérité, valeur à laquelle tu feins de tenir pour mieux l’enculer.
On peut déconner, faire des « cocoricos », se tirer sur le poireau en poussant des grands cris tant qu’on veut … Mais y a quand même un moment où il va falloir passer aux choses civilisées, ne t’en déplaise.
Étant donné qu’il n’existe aucun droit de réponse sur ton site et que le compte twitter de l’expo m’a été fermé, comme à beaucoup d’autres d’ailleurs, je cherche tribune là où le dessein est de faire éclater la vérité et non de se complaire bêtement dans le stupre et le mensonge. Alors oui, le compte twitter a été relayé sur alainzannini.com, oui, oui… mais SANS les réponses qui y ont été postées, bien sûr ! Et qui, pourtant, valaient infiniment plus que le flot d’inepties dégueulées par ta standardiste bénévole (et amoureuse transie), Samantha.
Alors, les copains, on peut faire de la calomnie sans être inquiétés ? On peut détourner les faits et les arroser de sa sauce sans que personne ne puisse répondre ? Étrange pour un type qui prône la liberté d’expression…Et qui l’utilise, souvent, pour déblatérer des conneries encore plus grosses que lui, brouillant les pistes sur des sujets sérieux avec l’air pénétré de ceux qui sont dans le vrai.En réalité, j’ai bien compris, et c’est un secret de polichinelle, la liberté que tu défends, du haut de tes deux tours, est celle de pouvoir déblatérer tes conneries partout ou de les faire raconter par tes sbires, qui, soit-dit en passant, passent et s’évanouissent au fil des années. En effet, tu n’arrives pas à avoir de collaborateurs sans arriver à les faire tomber de ta tour de Babel branlante.
Les meilleurs sont partis les premiers…Il ne te reste qu’une bande de victimes adolescentes sans grand intérêt autre que psychiatrique, prêtes à te suivre jusque dans le trou des chiottes (auxquelles tu tiens comme à la prunelle de tes yeux)… Quelle consécration pour un écrivain de la trempe dont tu te vantes !
D’ailleurs, en parlant de tes sbires, tu passeras le bonjour à Théo, un de ceux qui gardait ton expo à titre gracieux (comme tous ceux qui remuent la poussière à ta place) et sans sourciller, même lorsque la rage te faisait grimper aux rideaux ou bouffer les tapis. Quel self-contrôle !
Il m’a envoyé quelques mails abscons et bourrés de fautes de grammaire niveau CP devant lesquelles j’ai eu confirmation quant à la médiocrité des gens qui t’entourent …Le plus triste est qu’on a souvent les amis qu’on mérite.
Tout d’abord, j’aimerais rectifier deux, trois choses, histoire de repartir sur une base solide et te faire défaillir de ta tour d’ivoire coloniale : celle de la vérité des faits.
Je ne suis pas fan de toi, Marc-Ed, pas plus que je n’attendais cette rencontre comme celle de Georges Bernanos où Arthur Rimbaud. Descends deux secondes de ton cocotier, le fait de venir voir une expo ne constitue en rien la preuve qu’on est prêt à sucer la bite du mec qui la fait (gratuitement, bien sûr, et en se sentant honoré, s’il-vous-plait !)
J’ai lu 3 bouquins de toi, je les ai appréciés, je n’ai jamais prétendu y voir du génie, je les ai aimés, c’est tout… Et ce sont les bouquins où tu t’abstiens de parler de toi (Du moins, au maximum de tes capacités).
J’ai essayé de lire tes deux derniers pavés, ils me sont littéralement tombés des mains, comme des mains de beaucoup de gens, d’ailleurs.
Je me suis rendue à Aix avec un ami, qui lui, connaît bien mieux tes livres, c’est vrai. Ne voyant que très rarement cet ami, sachant qu’il habite à Grenoble et que j’habite à Avignon, il me semblait sympathique de nous retrouver à Aix ensemble pour aller voir cette expo et puis, tout simplement, y passer un week-end au soleil…L’erreur étant que nous étions hébergés par l’un de tes laquais.
Cependant, la perspective d’une rencontre enrichissante, je l’avoue, nous faisait réellement plaisir.
C’est ridicule d’en arriver à expliquer pourquoi et comment on se rend quelque part, comme si on devait écrire une déposition au commissariat du coin, pour crime de lèse-majesté : être allé perdre son temps devant les croûtes décoratives d’un banquier en reconversion. En effet, quel crime !
C’est ridicule, comme beaucoup de choses te concernant, mais toi et tes petites copines de maternelle ont dit bien trop de conneries et ça fait un moment que ça ne fait plus rire personne, sauf vous.
On ne va pas revenir sur les détails de cette rencontre. Tu étais là, tu sais très bien comment ça s’est passé, à quel point tu as été grotesque et colérique, et goujat (considérant que je suis une femme, même si ça ne signifie rien de très important à tes yeux). Certains t’appellent le nabot, moi j’ai tout de suite vu en toi Grincheux, le côté attendrissant en moins.
Quand sa propre affiche joue sur la provoc et insulte les Aixois sous couvert d’un parisianisme dont tu t’es défendu comme une pucelle pendant des années…Il me semble qu’on doit être capable, de son côté, de supporter d’être égratigné sur un livre d’or, surtout quand l’auteure du mot est là pour assumer et discuter posément.
Mais, j’oublie que tu n’es qu’un sale gosse qui pisse au lit et pas un homme viril et calme, comme le sont la plupart des hommes intelligents et talentueux de ton âge. Car oui, tu es vieux, et tu as tendance à l’oublier ; ce qu’on pardonne à son petit frère devient vite lamentable quand c’est un homme âgé qui chie sur le tapis.
Tu es vieux, susceptible, décati, j’ai vraiment eu l’impression de voir une femme ménopausée tournoyer comme un papillon de nuit dans un bocal. Une vierge folle obsédée par la privauté de son cabinet de travail, les chiottes de la galerie. Tu t’es pris pour Saint-Pierre refusant l’accès aux chiottes sacrées ? Tu m’as juste rappelé ma prof de primaire qui nous empêchait d’aller pisser ; C’était sa façon à elle d’exercer son minuscule pouvoir.
J’avoue que l’image que tu nous as laissée, à mon pote comme à moi, est assez pathétique. Pour nous qui sommes effrayés à l’idée de vieillir, te rencontrer et constater les effets de l’âge sur quelqu’un qui refuse de vieillir, fut traumatisant.
En plus, nous avions déjà eu vent de la déception que tu multiplies comme des petits pains. On ne pouvait pas le croire, sûrement, bien trop minable !
Ton twitter relate une version des faits, ceux qui veulent aller y voir nos mésaventures, et qui sont pourvus d’un gramme de jugeote, comprendront très bien ce qui s’y est passé. Les textes des autres « justement évincés » et la bêtise des articles de Nabe et consorts étant là pour nous rappeler d’où vient le problème, ce qu’EST le problème.
Alors, bourgeois fier et honteux, dont la seule souffrance est de ne jamais avoir été entouré d’apôtres… De n’avoir jamais été crucifié que par les journalistes des Inrocks et à qui tu n’accorderas jamais ton pardon « chrétien », nous laissant ainsi la confirmation que vous êtes décidément de la même trempe.
Barbouilleur de papier, jeuniste obscène et pousse-au-crime éhonté, quand t’arrêteras-tu ?
Une fois seul ? Au détour d’un miroir dont le reflet pathétique ne sera que l’euphémisme de ton vrai reflet ?
Déjà, rien que la vision de ce qui te sert de fiancée devrait te faire comprendre que ta place n’es plus là.
Quand comprendras tu que tu es ridicule et que ta crédibilité fond comme neige au soleil ?
Soleil, en-dessous duquel, c’est évident, plus rien de nouveau ne se produit…?
Je te souhaite un prompt rétablissement et te conseille d’en revenir à un projet depuis longtemps laissé sans suite :
Cesser de jouer avec ton caca et devenir enfin un Homme.
T’as du pain sur la planche !
M.-C.
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