Les peuples commencent à se réveiller et il n’est pas exclu que cette initiative fasse tache d’huile. Bientôt l’Espagne, l’Italie et pourquoi pas la France, si les Français veulent bien s’affranchir du diktat des banksters et de l’oligarchie mondialiste.
Dimanche soir, le « Non » l’emportait à 61,5% sur plus de la moitié des bulletins dépouillés (70%).
Après une journée de vote placée sous le signe de l’incertitude, place au dénouement en Grèce. Quelque 9 millions d’électeurs étaient attendus dans plus de 19.000 bureaux de vote, ouverts depuis 7h (heure d’Athènes) et fermés à 19 heures. Ils devaient répondre à la question suivante : « Est-ce que la proposition soumise par la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international lors de l’Eurogroupe du 25 juin doit être acceptée? ». Le non au référendum ne signifie pas « une rupture avec l’Europe » mais « le renforcement de notre pouvoir de négociation » avec les créanciers, UE et FMI, a affirmé Alexis Tsipras.