Réunion de famille à l’Élysée entre le bankster de chez Rothschild Emmanuel Macron et les plus grands fonds de pension au monde, c’est-à-dire les plus grands criminels de tous les temps… La sagesse populaire ne dit-elle pas que ce qui se ressemble s’assemble ! Ce sont ces gens qui ont détruit l’économie mondiale, qui spéculent sur les matières premières et des denrées de première nécessité en créant des famines et des émeutes, ces gens qui ont déstabilisé le marché du travail et désindustrialisé les nations… Pour les remercier, le président actuel les reçoit avec les honneurs.
Un dîner réunissant 21 des plus grands noms de la gestion d’actifs comme l’américain BlackRock ou des fonds souverains a lieu ce mercredi à l’invitation du président de la République. L’objectif : les convaincre d’investir en France. Plusieurs milliers de milliards d’euros autour de la table. Ce mercredi soir à l’Élysée, Emmanuel Macron a convié 21 des plus grands noms de la finance mondiale, fonds de pension, fonds souverains et gestionnaires d’actifs de tous les continents, ont indiqué les services de la présidence. Sans révéler de nom. “20h30. Dîner avec des investisseurs internationaux” indique sobrement l’agenda de l’Élysée.Le géant américain de la gestion d’actifs BlackRock (5.900 milliards de dollars d’actifs sous gestion) a confirmé à Bloomberg que son président Larry Fink assisterait à ce dîner des plus grands investisseurs de la planète. Brexit et cessions de d’actifs L’objectif : leur vendre “la transformation profonde” du pays et les convaincre d’y investir. Le détail des réformes économiques et sociales engagées (loi Travail, suppression de l’ISF, flat-tax, etc.) leur aura d’abord été présenté par le Premier ministre Édouard Philippe et plusieurs ministres, dont ceux de l’Économie, du Travail et des Transports, Bruno Le Maire, Muriel Pénicaud et Elisabeth Borne. Cette opération séduction du Président, ex-banquier d’affaires chez Rothschild & Co, intervient au moment où la France cherche à attirer les acteurs de la finance envisageant de quitter Londres dans le cadre du Brexit. A l’heure aussi où l’exécutif a annoncé vouloir réaliser 10 milliards d’euros de cessions de participations, afin de financer l’innovation. Début septembre, l’Agence des participations de l’Etat a ainsi cédé 4,15% du capital d’Engie pour 1,5 milliard d’euros. Sur la liste des […]
Delphine Cluny – La Tribune