C’est avec ce genre de réaction stupide que l’on comprend que que la France et son peuple ont sombré dans la bêtise la plus crasse. Ça rappelle l’histoire du salarié de l’aéroport de Nice, si notre mémoire est bonne, qui avait été viré de son poste parce qu’il avait dit à ses collègues de travail “salam alaykoum”, en d’autres termes : que la paix soit sur vous !
Rappelons que l’un des deux frères de la fratrie tunisienne que l’ex-ministre de la république Frédéric Mitterrand a récupéré, sans en avoir le droit d’ailleurs, s’appelle Jihad ! Doit-on taxer Monsieur Frédéric Mitterrand d’intelligence avec l’ennemi djihadiste ?
La France va vraiment très mal Il faut dire que la propagande médiatique y est pour beaucoup. Mais on ne peut oublier de parler de l’école de la république qui a réussi son pari, rendre le peuple inculte et ignorant comme jamais aucun peuple auparavant ne l’a été.
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Selon une circulaire de 2011, « les parents ne peuvent choisir un ou des prénoms qui, seuls ou associés au nom de famille, seraient manifestement contraires à l’intérêt de l’enfant ».
La mairie de Toulouse (Haute-Garonne) a effectué un signalement au procureur de la République après avoir constaté qu’un couple souhaitait appeler leur fils Jihad. L’information a été révélée, vendredi 20 octobre, par le site ActuToulouse.fr. Il précise que l’enfant est né le 2 août 2017 dans la Ville rose, mais que la famille réside à Léguevin, à l’ouest de celle-ci.
« Jihad » ne signifie pas « guerre sainte », rappelle Abderrahmane Oumachar, cofondateur du Centre toulousain de la spiritualité musulmane, qui estime que le terme a été mal traduit, puis détourné de son véritable sens. « Ce mot signifie l’effort pour accomplir le bien, tel un médecin qui sauve des vies », abonde-t-il. Et de conclure : « Cela n’a donc rien à voir avec l’image véhiculée par les médias et pratiquée par des criminels se réclamant de l’islam.» Toutefois « ce prénom suscite des incompréhensions qui risquent de nuire à l’épanouissement de l’enfant, à son intégration », relève-t-il.
Or « les parents ne peuvent choisir un ou des prénoms qui, seuls ou associés au nom de famille, seraient manifestement contraires à l’intérêt de l’enfant », insiste une circulaire de 2011. Après le signalement effectué par la mairie de Toulouse, le procureur de la République va devoir trancher et décider ou non de transmettre le dossier à un juge aux affaires familiales. Le site officiel de l’administration française précise qu’ « en l’absence d’un nouveau choix de prénom par les parents conforme à l’intérêt de l’enfant, le juge attribue un autre prénom”.
France TV Info