Dérapage – Le chroniqueur Martial s’en prend en… par morandini
Très courageux le Martial, il a jeté un froid glacial sur le plateau mais ce qui choque le plus, c’est J.-M. Morandini, le boss de la télé poubelle made in TF1, qui décrit ce passage télé comme un dérapage et non comme un commentaire sur le livre pro-pédophile de D. Cohn-Bendit !!! On lit même qu’il veut des sanctions (sic) contre ce petit impertinent qui n’a eu pour seul tort que de dire la vérité, rien que la vérité (rappel des écrits ci-dessous). Bayrou avait fait la même chose et toute la doxa lui était tombée dessus ! Donc, on a des journalistes qui défendent un pédocriminel qui écrit et dit à la télé chez Pivot, totalement défoncé au cannabis, qu’il est pédophile et on nous explique qu’il n’y a pas de complot. OK ! Pourquoi pas ?
Il faut rappeler également l’énorme scandale pédophile en Allemagne, patrie d’origine de DCB, plus spécialement dans son parti des verts, Die Grünen. Très très peu de médias en ont parlé en France, allez comprendre pourquoi…
“Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : ‘Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?’ Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même”. “J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi “. D. Cohn-Bendit, Le grand bazar, 1975.
Hier, dans le “Mad Mag” sur NRJ 12 , l’équipe de l’émission est revenue sur le sketch des “Guignols” sur le Front National , diffusé la veille sur Canal Plus.
Martial, l’un des chroniqueurs, a donné son avis sur la remarque de Daniel Cohn-Bendit, qui avait estimé que la séquence n’était “pas drôle”.
“Ce n’était pas prévu mais je le dis quand même. Daniel Cohn-Bendit a quand même écrit un livre [“Le Grand Bazar”, paru en 1975, ndlr] en disant que c’était cool de se faire déshabiller par des petites filles de 2 ans . Donc, il ira donner des leçons à quelqu’un d’autre”, a-t-il lâché.
Quelques instants plus tard, Ayem a tenu à recadrer son chroniqueur.
“Petit mea-culpa. On avait dit qu’on parlerait de tout et de rien et aussi de politique mais sur un ton léger. Et là, mon ami Martial, vous avez commis une petite erreur. Vous avez parlé d’un petit truc qui touche à la politique et vous avez été un peu trop loin”, a expliqué la présentatrice.
Martial a alors rétorqué : “Donc on ne peut pas dire la vérité sur NRJ12, ce n’est pas grave. Je m’excuse les amis, je ne veux pas de problème avec Dany”.
Jeanmarcmorandini.com a joint la direction d’NRJ12 qui nous indique que “la blague de Martial était pourrie et mal placée”
“On doit faire attention à ce que l’on dit à l’antenne”, nous a-t-on précisé.
Concernant les propos de Martial comme quoi “on ne peut pas dire la vérité sur la chaîne”, la chaîne nous indique “[qu’]on peut dire toutes les blagues sur l’antenne. Il faut que ça soit contextualisé”.
A la question de savoir si le chroniqueur sera sanctionné après les propos, la chaîne précise : “Il n’y aura aucune sanction. Il s’est rendu compte de son erreur. Il y a eu la réaction d’Ayem en plateau. Ce n’est pas une affaire d’Etat”.