Le franc-maçon Manuel Valls, ex-premier ministre de la France, est la quintessence de tout ce qui est détestable dans la politique. Cet article ci-dessous résume parfaitement son cas puisqu’il revient sur ses échecs, sur ses magouilles… et se pose une question simple, celle de sa présence ubiquitaire dans les médias français.
Rappelons que ce monsieur s’était parjuré lors de la primaire socialiste puisqu’au lieu de soutenir le vainqueur de sa famille politique, il est allé rejoindre Emmanuel Macron ! Ce seul parjure est suffisant pour l’enduire de goudron et de plumes et le bannir de la société humaine. Mais cet article revient également sur la décision du conseil constitutionnel de valider son élection législative tout en confirmant qu’il y a eu de la triche sur une soixantaine de bulletins de vote ! Donc si on comprend bien, si on lit français, vous avez le droit de tricher dans des élections en France mais le nombre de bulletins litigieux ne doit pas influencer le résultat final. Dans quel pays civilisé digne de ce nom peut-on laisser passer une telle hérésie !
Nous allons laisser de côté ses fréquentations douteuses des dirigeants sionistes d’extrême droite qui poussent au massacre des populations palestiniennes car ça ne ferait qu’aggraver le cas de ce pauvre petit raté éternellement liés à l’entité sioniste scélérate !
Mais il faut dire et réaffirmer que pour comprendre cette situation curieuse, l’appartenance à la mafia maçonnique de ce monsieur est essentielle.
Il n’est plus rien, il ne représente rien, il a tout raté… et il est invité partout.
Reconnaissons-le, il y a bien un mystère Valls, ou pour le moins une incongruité médiatique. Son curriculum vitae est pourtant lesté comme celui d’un multirécidiviste. Principal artisan, avec François Hollande, de la déroute du quinquennat précédent, il aura réussi à rétrécir l’espace de son parti, façon chef des Jivaros. Rappelons la prouesse qui ne sera sans doute pas égalée avant longtemps ! Il a tellement détruit son camp qu’il n’y avait pas de candidat défendant l’orientation du quinquennat à l’élection présidentielle.
Politique libérale, dérive autoritaire, restriction des libertés, coups de menton énergiques, les trois années du premier ministre Valls auront été un festival. Avec au bout, la nette défaite aux primaires face à Benoît Hamon. Il y a peu, sur les ondes d’Europe 1, il déclarait « la social-démocratie est en fin de cycle, le PS est mort ». L’affirmation n’est certes pas sans fondement, mais curieuse dans la bouche d’un des principaux meurtriers. Mais peut-être que le propos relève du vieil adage : un assassin revient toujours sur les lieux du crime ?
Boudu sauvé des eaux aux législatives
Il se voyait président de la République, le voilà donc député apparenté. Et encore, difficile de dire que ce mandat fut acquis dans le cadre d’une compétition libre et non faussée. Il ne doit son élection qu’à l’extraordinaire – l’étonnante ? – mansuétude du Conseil constitutionnel.
Face aux recours déposés par sa rivale de la France insoumise après une courte défaite de 141 voix, et alors que quatre bureaux ont beaucoup tardé à communiquer leurs résultats, celui-ci a tranché, n’estimant qu’à 61 les suffrages litigieux : « Ces suffrages irréguliers restant en nombre inférieur à l’écart de voix entre les deux candidats du second tour, cette irrégularité ne saurait conduire à l’annulation des opérations électorales ».
On pourrait donc résumer l’arrêt du Conseil par : il y a bien eu tricherie, mais apparemment ça n’a pas faussé le résultat du vote. Se revendiquer urbi et orbi ardent défenseur de la République, mais avoir des méthodes de satrapes, c’est donc ça aussi Manuel Valls.
Valls, le renouveau identitaire
L’ancien premier ministre n’a jamais incarné la gauche du PS, mais depuis quelques années, il se surpasse dans une frénésie identitaire, au point de prendre ses désirs nauséabonds pour des réalités. Tout en lucidité et perspicacité, il avait estimé en avril 2016, que la présidentielle de 2017 se jouerait sur « la bataille culturelle et identitaire ». On connaît la suite.
Cette obsession à camper sur les thèmes de l’extrême droite lui avait valu, à la même époque, la une de l’hebdomadaire Le Point avec le titre : « Valls, la gauche Finkielkraut » (si vous avez oublié cette perle). Au-delà de l’oxymore de bon niveau – on attend « l’extrême droite Blum » ou la « culture Morano » –, il faut reconnaître à ce numéro d’acter que Manuel Valls est désormais étranger à ce qu’est la gauche dans ses infinies nuances.
Libéral, sécuritaire, identitaire : c’est bien sur les thématiques de la droite extrême qu’il se situe désormais. Un Wauquiez sans parka rouge en quelque sorte. Officiellement, Manuel Valls promeut une « laïcité exigeante ». En réalité, il ne s’agit là que d’un habillage pour fustiger une seule religion, dans un amalgame aussi douteux qu’irresponsable : l’islam.
Une laïcité de plaisantin
Entre deux dîners du Crif, on l’aura par exemple vu soutenir le gouvernement de Rajoy dans la crise catalane. Pourtant, le Parti populaire, repaire des anciens franquistes et de l’Opus Dei, n’est pas un parti de droite classique, au point que l’ancien premier ministre se verra rabrouer publiquement par sa propre sœur…
Guillaume Liégard – Regards