Extraordinaire procès d’une violence inouïe envers la raison et la dignité humaine : pas un mot pour les nourrissons massacrés, arrachés à la vie par un monstre. Les propos tenus sont à graver au burin sur du granit, pour l’éternité ! Une des avocates, Me Carlier, osera saluer la délibération des jurés, qui ont pris une décision “avec intelligence, avec compassion, avec humanité” ! Le monstre a écopé de seulement 9 ans pour 8 meurtres ! Un peu plus d’un an par enfant ! Comme elle a déjà fait 2 ans de prison en préventive, elle pourra demander une libération anticipée dès l’année prochaine. Ce qui veut dire, plus précisément, que la peine est de 4,5 mois de prison par enfant tué ! On remarque également qu’il n’y a pas de cause aggravante : que vous tuiez 1 ou 30 enfants, c’est du pareil au même ! Je n’arrive pas à croire un tel jugement tant il est déconnecté de toute morale, sagesse et civilisation.
“Émeline, Virginie, pardon, pardon à mes frères et à mes sœurs, pardon à mes petits-enfants”. D. Cottrez
L’accusée demandera pardon à tout le monde sauf aux 8 victimes de sa barbarie. Heureusement de la duréee de la grossesse humaine est de 9 mois, autrement elle aurait tué encore plus de ses enfants… La seule excuse utilisée par la défense sera de présenter une dame névrosée, complexée par son poids ! Bon, ben, si vous voulez faire un massacre de masse, pensez à prendre 30 ou 40 kilos juste avant, ça peut aider au tribunal. Heureusement que toutes les mamans en surpoids ne massacrent pas leurs enfants de la sorte ! Par contre, évitez les braquages à main armée même s’il n’y a aucun blessé, car ça peut vous valoir 20 ans de prison comme le montre un récent jugement à Lyon (cf. photo de droite) ! N’allez surtout pas vous mettre à fabriquer de la fausse monnaie dans votre cave, c’est perpète assurée ! Vous l’aurez compris : braquer une banque est beaucoup plus dangereux que de tuer un bébé ou un quelconque être humain ! En d’autres termes, l’argent est plus précieux qu’une âme dans cette société dégénérée et soumise à Mammon, ce qui est, in fine, très logique dans leur paradigme.
Ce qui est gravissime dans cette mascarade de justice, c’est le fait que l’accusée ait menti, s’étant d’abord placée en victime d’un père incestueux avant de se rétracter à la barre ! Ce mensonge n’a pas non plus aggravé la sévérité de la justice, bien au contraire ! C’est en réalité une aide soignante modèle, bien vu par sa hiérarchie, elle n’est donc ni folle, ni timbrée, totalement responsable de ses actes. Elle a également des enfants ! Pourquoi en avoir gardé et élevé certains (2) et tué d’autres ?
Dans cette société dégénérée, offusquée et traumatisée par une décapitation dont on ne sait même pas à ce stade si elle a précédé ou suivi la mort (décollation), les infanticides sont de plus en plus nombreux, gratuits et violents. Il faut dire que ça correspond parfaitement à l’idéologie du moment, plus exactement à l’ère et au règne de la GPA du lobby LGBT, car à partir du moment où on peut s’acheter des bébés, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas s’en débarrasser à tout moment comme d’un vulgaire objet détrôné par un modèle plus récent… Il me semble également très important de rappeler que le satanisme existe et que bien des adeptes de cette secte se sont illustrés dans des sacrifices de nourrissons…
Pour finir, le cas D. Cottrez étant ce qu’il est ; que la justice n’ait pas pris ses responsabilités en condamnant sévèrement cette barbarie sans nom est très révélateur du malaise civilisationnel dans lequel la modernité lumineuse maçonnique patauge : sa mort programmée.
Cette ex-aide-soignante de 51 ans, accusée d’avoir tué huit de ses nouveau-nés entre 1989 et 2007, a été condamnée à neuf ans de prison.
C’est le dernier jour. Après les plaidoiries des avocats de la défense, le verdict est tombé, jeudi 2 juillet, dans le procès de Dominique Cottrez. L’ex-aide-soignante de 51 ans jugée pour un octuple infanticide a été condamnée à neuf de prison.
• Un verdict “d’humanité”, selon son avocat. Dominique Cottrez “accepte cette peine” et n’interjettera pas appel, a indiqué Me Berton à la sortie de la salle d’audience. Lui et sa consœur Me Carlier saluent la délibération des jurés, qui ont pris leur décision “avec intelligence, avec compassion, avec humanité”.
• 18 ans de prison avaient été requis. “Il faut que madame Cottrez, même pour elle, reparte en prison. Qu’elle comprenne l’horreur absolue des crimes qu’elle a commis”, avait déclaré l’avocat général lors de ses réquisitions.
• Dominique Cottrez demande “pardon”. Invitée à prendre la parole une dernière fois avant que les jurés ne se retirent pour délibérer, Dominique Cottrez a lancé : “Emeline, Virginie, pardon, pardon à mes frères et à mes sœurs, pardon à mes petits-enfants”.