C‘est avec ce genre de comportement totalement irresponsable de la part du préfet de la Haute-Garonne que vous comprenez que la France est en train de sombrer petit à petit dans un régime dictatorial. Effectivement, depuis quand l’État peut-il se mêler d’une question scientifique, plus précisément médicale, qui concerne tous les citoyens ? Quelles sont les compétences de l’État pour une telle entreprise ? C’est d’autant plus grave que la population doit absolument tout savoir avant de se faire injecter comme le prévoit le code de santé public et le concept même de “consentement éclairé”. Ce qui n’a jamais été le cas puisque la vaccination a été mise en place via la contrainte et le chantage en camouflant systématiquement les effets indésirables graves pourtant de nombreux vaccins ont déjà été retirés et des tranches d’âge relevées.
On peut être certain de l’issue de ce nouveau scandale d’abus de droit car on ne voit pas trop comment le conseil d’État va autoriser une telle atteinte à une liberté fondamentale, celle de penser et d’informer. D’autant que tous ces chiffres sont basés sur des rapports officiels, rien n’a été inventé. De plus, il faut vraiment être d’une grande naïveté, voire d’une profonde bêtise pour croire que le gouvernement, il suffit de se rappeler du scandale du sang contaminé, de l’amiante, dernièrement du meurtrier Mediator… ou tout simplement du magique et fantomatique nuage de Tchernobyl ! Qui peut faire confiance aux ARS, responsables de la destruction de l’hôpital public et de la médecine libérale qui a demandé d’ailleurs à ses services – en toute illégalité et contrairement à l’intérêt du public – de faire attention à ne pas diffuser d’informations concernant les services d’urgences fermés cet été selon les révélations du Dr Christophe Prudhomme.
Pour finir, nul besoin de cette affiche ni de ces chiffres statistiques car les enfants ne sont pas concernés, encore une fois, par la maladie du Covid-19. Les enfants ne tombent pas malades et ne diffusent pas le virus, l’affaire est close. Le contenu de l’affiche est donc juste, injecter les enfants avec des produits expérimentaux relève de la folie furieuse. Tout le monde peut voir dans la vidéo ci-dessous le monsieur vaccin américain Anthony Fauci avouer qu’il n’y a absolument “aucune étude scientifique” américaine qui valide l’utilisation des doses de rappel chez les enfants de 0 à 12 ans ! Ils sont tout simplement en train de les piquer telles des souris de laboratoire avec un produit innovant sans aucun recul.
Néanmoins, cette interdiction est très intéressante car elle va permettre à l’association RéinfoCovid de se défendre devant le tribunal en apportant toutes les preuves nécessaires à la démonstration de la dangerosité de ces injections d’ARN messager. C’est ce type de débat qui a été totalement interdit par les médias via la censure et la menace, il se fera à la barre, au tribunal.
J’aurai plaisir de défendre l’association Reinfo liberté et le collectif @ReinfoCovidOff face à la censure dont ils font l’objet suite à la campagne de communication sur les effets secondaires. Il s’agit d’une atteinte à la liberté d’expression. #touchepasamalibertedexpression pic.twitter.com/O65giOXnUk
— David Guyon (@DavidGuyon3) August 26, 2022
Le préfet de la Haute-Garonne, Étienne Guyot, a pris un arrêté préfectoral pour interdire définitivement la campagne d’affichage anti-vaccination contre le Covid-19 à Toulouse. L’affichiste et l’association à l’origine de ces panneaux ont 72 heures pour les retirer.
Il y a plus d’une semaine, la secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté, Sonia Backes, avait demandé un arrêté préfectoral interdisant les affiches aux messages hostiles à la vaccination contre le Covid-19. Elles sont désormais interdites à Toulouse. Le préfet de la Haute-Garonne, après avoir mené une procédure contradictoire, a pris un arrêté préfectoral d’interdiction de cette campagne d’affichage.
72h pour les enlever
L’arrêté interdit cette campagne et impose à l’annonceur, à l’association « Réinfocovid », et à l’affichiste, la société “Luchetta peinture et sérigraphie”, basée à Tournefeuille, de procéder au retrait de ces affiches dans le délai de 72 heures à compter de la notification de l’arrêté qui a été effectuée ce jour.