هذه اشارة تغيير كبيرة يجب أن تشجع قوات الأمن الجزائرية على الانضمام إلى الشعب بشكل جماعي لأن الإذلال الذي عانى منه هذا الشرطي الذي كان يؤدي وظيفته لم يكن من الممكن تصحيحه في المحكمة في فترة بوتفليقة الهمجية ومافياه. هذه مجرد بداية ولكنها بالفعل شيء مفرح و مشجع للغاية
.يجب أن نفهم أيضًا أن هذا الشاب هو ابن مسؤول سياسي و ديني رفيع يفترض أن يكون مثاليًا ذو قيم أخلاقية رفيعة
Ceci est un énorme message illustrant le changement en cours qui devrait encourager les forces de l’ordre algériennes à rejoindre la population en masse car l’humiliation subie par ce gendarme qui ne faisait que son travail n’aurait jamais pu être corrigée par la justice de l’époque corrompue et barbare des Bouteflika et de leur mafia. Ce n’est qu’un timide début mais c’est déjà ça à prendre. il faut également comprendre que ce jeune homme est le fils d’un haut dignitaire religieux censé être exemplaire et à la morale rigoureuse voire parfaite !
Le fils d’Aboudjerra Soltani a été placé sous mandat dépôt, mercredi dernier, par le juge d’instruction du Tribunal de Cheraga pour avoir agressé un gendarme.
Le tribunal de Cheraga a prononcé son verdict dans l’affaire, l’impliqué n’a pas été acquitté, à l’encontre des attentes il a été condamné à un an de prison et 20.000 da d’amende.
ALG24 rapporte les détails de l’agression qui se serait déroulée la semaine dernière, quand le fils d’Aboudjera Soltani a invité un de ses amis à dîner en sa compagnie dans sa résidence au Club des Pins sans en aviser l’administration.
Le petit d’Aboudjera s’est donc présenté à son domicile avec son ami à bord d’un véhicule autre que celui enregistré au niveau du poste de contrôle. Appliquant les règles sécuritaires, le gendarme lui a interdit l’accès. En colère, le fils d’Aboudjerra assène plusieurs coups de poings et de pieds au gendarme, un des coups atteint le rein et a valu au gendarme un arrêt de travail.
Le gendarme a ensuite fait un rapport et instruit une plainte dans laquelle il a indiqué avoir été agressé et humilié. Une enquête a été entamée et a conduit à l’arrestation de l’agresseur pour agression d’un agent des forces de l’ordre public dans l’exercice de ses fonctions.
Photo d’illustration : Tribunal de Chéraga – Algérie Direct
M.A.Y
Algérie 360°3 juin 2019