C’est le monde à l’envers, l’inversion du réel que nous vivons actuellement avec cette recommandation de l’agence européenne du médicament d’utiliser le poison de Gilead, le remdesivir, pour soigner le covid-19 ! Alors que nous n’avons absolument aucune étude qui prouve l’efficacité de cette molécule chimique très coûteuse, sur quel fondement l’agence européenne peut-elle faire une telle recommandation ? C’est vraiment le monde à l’envers puisque l’hydroxychloroquine qui a des effets très intéressants, ne coûte pas cher, soit plus exactement 200 fois moins que le remdesivir, et ne présente de surcroît que très peu d’effets secondaires contrairement à ce dernier ! Où donc est-elle cette fameuse médecine moderne basée sur les preuves ?
En réalité, seul l’argent – donc la corruption – peut forcer et imposer de telles anomalies ! Seul le lobbying et le pouvoir de l’argent sale peut permettre de transformer l’escroc en saint homme, le poison en médicament, le médicament en poison… Tout ceci bien entendu avec la complicité passive ou active d’une presse qui a démontré son incompétence depuis déjà fort longtemps.
« Le remdesivir est le premier médicament contre le Covid-19 à être recommandé pour autorisation dans l’UE », précise l’agence.
La Commission européenne doit encore approuver cette recommandation.
L’agence européenne des médicaments a recommandé l’autorisation (en anglais) d’une « mise sur le marché conditionnelle » de l’antiviral remdesivir dans les pays de l’Union européenne pour les patients atteints de Covid-19, jeudi 25 janvier. Cette procédure dérogatoire permet d’accélérer la commercialisation – pendant un an – d’un médicament dont l’évaluation n’est pas encore complète. La recommandation de l’agence porte sur un traitement chez les adultes et les adolescents à partir de 12 ans, souffrant de pneumonie et ayant besoin d’un supplément d’oxygène, c’est-à-dire ceux « atteints d’une maladie grave ».
Le remdesivir est le premier médicament à faire l’objet d’une telle recommandation depuis le début de la crise sanitaire. Il sera commercialisé en Europe, a un prix qui n’est pas encore fixé, sous le nom de Veklury et sera destiné aux adultes et aux adolescents atteints de pneumonie, à condition toutefois que la Commission européenne approuve cette recommandation, sans doute dans la semaine. L’agence appuie notamment sa décision sur une étude américaine (en anglais), parrainée par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID).
Initialement développé contre la fièvre hémorragique Ebola, le remdesivir du laboratoire américain Gilead est la première thérapie à avoir démontré une certaine efficacité chez les patients hospitalisés pour le Covid-19 dans un essai clinique de taille significative, même si son effet est toujours considéré comme modeste. Cet antiviral expérimental a déjà été autorisé par les États-Unis, puis par le Japon.
Photo d’illustration : des flacons de remdesivir lors d’une conférence de presse consacrée au virus Ebola, en avril 2020 à Hambourg (Allemagne). (ULRICH PERREY / POOL / AFP)
France Télévisions
25 juin 2020