Si vous voulez une preuve du complot, une preuve définitive qui ne supporte ni la contradiction et encore moins la dérision, la voici. Alors que l’UPR vient d’enregistrer son 30.000e adhérent, absolument aucun média national n’en parle ou n’invite son président, Monsieur François Asselineau. Alors qu’ils invitent des gens totalement insignifiants et des partis qui dépassent à peine les quelques milliers d’adhérents, voire des structures nouvelles comme celle de Florian Philippot qui ne comportent que très peu d’adhérents, l’UPR est blacklistée et censurée par les médias dominants.
D’autant que ces 30.000 adhérents paient la redevance audiovisuelle, qu’ils ont absolument les mêmes droits que les autres et pourtant ni France Télévisions ni le CSA ne font leur travail pour rétablir ce déséquilibre flagrant. C’est une véritable honte, il suffit d’ouvrir les yeux pour le constater.
L’UPR a franchi le cap des 30 000 adhérents au cours de l’après-midi du 9 février 2018.
Avant de pouvoir l’annoncer officiellement, nous avons voulu joindre les 29 999ᵉ, 30 000ᵉ et 30 001ᵉ adhérents, pour obtenir leur photo et une brève description des raisons de leur engagement à l’UPR. Nous les présentons ci-après.
François Asselineau a téléphoné personnellement à ces trois adhérents pour les féliciter et les convier à dîner le vendredi 16 février prochain à Paris.
Nous remercions également très chaleureusement les dizaines et dizaines de nouveaux adhérents que nous avons enregistrés au cours des 72 dernières heures.
Bureau national de l’UPR
29 999ᵉ adhérent : Sakshi Sharma, 24 ans.
D’origine népalaise, Sakshi (prononcer « Saaty ») est née en juillet 1993 à Katmandou, capitale du Népal. Arrivée en France avec ses parents à l’âge de 4 ans, elle a passé ses années d’enfance en Lorraine. Vivant désormais en région parisienne, dans le Val-de-Marne, elle travaille comme auxiliaire de puériculture à la mairie de Paris.
N’ayant jamais adhéré à un parti politique, et s’étant auparavant réfugiée dans l’abstention, Sakshi Sharma vient de rejoindre l’UPR en même temps que son compagnon, Raphaël Moukarzel, qui est notre 29 997e adhérent !
Né en 1991, de père libanais chrétien maronite et de mère française, Raphaël est diplômé de l’IUT de Créteil et de plusieurs écoles de commerce. Aujourd’hui ingénieur commercial, naguère abstentionniste résolu, Raphaël est devenu un ardent militant de François Asselineau et de l’UPR depuis la présidentielle.
C’est ce jeune couple qui s’est enfin résolu à sauter le pas en adhérant à l’UPR le 9 février 2018, dans l’espoir que l’un des deux serait le 30 000ᵉ adhérent. Pari presque gagné.
30 000ᵉ adhérent : Guillaume Mercier, 30 ans.
Né à Nice le 29 juin 1987, Guillaume a grandi à Torcy, dans le département de Seine-et-Marne, avant de suivre des études d’informatique à Montpellier. Il exerce aujourd’hui le métier de développeur Web à Paris.
Guillaume a voté pour le PS en 2007 (Ségolène Royal) et en 2012 (François Hollande), car il reconnaît volontiers avoir une sensibilité plus proche des idées de gauche.
Il a découvert l’UPR en 2014, par l’intermédiaire de son frère cadet, Benoît, plus actif que lui sur Internet. Benoît a fait écouter les conférences de François Asselineau et est parvenu à convertir ses proches à l’UPR. En particulier, la conférence Qui gouverne la France ? a convaincu toute la famille, captivée par l’argumentaire historique et la consistance de l’exposé.
Guillaume est heureux d’avoir trouvé, avec l’UPR, la sincérité qu’il attend d’un parti politique. C’est la raison pour laquelle il a décidé, pour la toute première fois de sa vie, d’adhérer à un parti.
C’est à Guillaume que François Asselineau remettra la médaille de bronze de l’UPR, numérotée et nominative, attestant qu’il est devenu le 30 000ᵉ adhérent de l’UPR le 9 février 2018.
30 001ᵉ adhérent : Kevin Lasseure, 23 ans.
Natif de Cambrai, où il réside toujours, Kevin est vendeur en boulangerie. Ce qui ne l’empêche pas de s’intéresser à la politique depuis l’âge de 16 ans et d’entretenir une grande passion pour l’histoire de France. Il reconnaît notamment vouer une grande admiration à Charles de Gaulle.Kevin reconnaît qu’il a été un temps tenté par le Front national. D’une part parce que ce parti dispose d’une forte base électorale dans le Nord, d’autre part parce que les grands médias le présentaient depuis plusieurs années comme un parti « dédiabolisé », qui voudrait sortir de l’Union européenne et de l’euro et qui serait le seul véritable opposant au système.
Mais ces bobards auxquels il a cru quand il avait 19 ans, il n’y croit plus à 23 ans. Kevin, dont la compagne est d’origine africaine, a été scandalisé par les propos violemment racistes qu’il a entendus dans des réunions d’adhérents et de sympathisants du FN. Il a aussi réalisé que ceux-ci se moquent comme d’une guigne des questions européennes, de l’OTAN et de l’indépendance nationale, la seule et unique question qui les préoccupe étant celle de l’immigration.
En bref, lorsque Kevin a découvert l’UPR à l’occasion de la présidentielle, il a trouvé un parti qui a les idées très claires, très cohérentes, très saines et très républicaines.
Exactement le parti qui correspond à ses idées !
François Asselineau, Président de l’Union populaire républicaine : « La France doit sortir de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN. »