On imagine qu’il a des compétences certaines dans l’organisation de trafic international de Call Girls, prostitution de luxe… par contre, on aimerait bien savoir quelles sont ses compétences économiques vu que : il a ruiné la France lorsqu’il était au pouvoir, il suffit de voir le résultat aujourd’hui ; il a ruiné le FMI (une association de malfaiteurs et de criminels à la solde de la CIA) qui n’avait plus d’argent non plus, il a ruiné son entreprise luxembourgeoise LSK qui a laissé un passif de 100 millions d’euros tout en fraudant à tout va pour camoufler une comptabilité désastreuse !!! Rappelons l’affaire de la K7 ou des comptes de la MNEF… Il s’est également illustré par son absence totale d’expertise sur la crise mondiale de 2008 qu’il n’a pas vue venir comme bon nombre de génies de l’économie qui nous dirigent… Rappelons rapidement quelques affaires de mœurs : Piroska Nagy au FMI, l’écrivaine Tristane Banon, le Sofitel de New York, le Carlton de Lille, la journaliste italienne Myrta Merlino et tant d’autres…
On comprend parfaitement que les dirigeants tunisiens sont corrompus et marchent la main dans la main avec le mondialisme maçonnique. Par contre, on ne saurait trop leur conseiller de lui organiser régulièrement des orgies luxueuses, autrement il risque de déraper encore une fois et ce ne sera pas joli à voir… On imagine que tout cela va mal se terminer comme toujours sur le dos du peuple tunisien encore plus ruiné.
Dominique Strauss-Kahn se tait. Reconverti dans les affaires, l’ancien favori à la présidentielle de 2012 évite de s’exposer. A peine l’affaire du Carlton refermée (DSK a été relaxé), un autre bras de fer se prépare devant la justice.
Conséquence des plaintes déposées par des investisseurs à la suite de la faillite de la banque LSK que l’ancien directeur du FMI avait lancée avec Thierry Leynes. Silence radio donc.
Pour l’heure, Dominique Strauss-Kahn se concentre sur son business. Déjà conseiller de plusieurs pays comme le Maroc — où il a établi ses bureaux et réside une partie de l’année — DSK, qui vient de fêter ses 67 ans, va aussi mettre ses compétences et son immense carnet d’adresses au service de la Tunisie. Associé à la banque Arjil, au bureau d’ingénierie tunisien Comète et au groupe Jeune Afrique (pour la communication), DSK a en effet remporté il y a une semaine un appel d’offres important du gouvernement tunisien. Objet : la mise en œuvre et la promotion du plan de développement quinquennal 2016-2020.
Il a retrouvé son tonus
Pour redécoller économiquement après les turbulences politiques et les attaques terroristes, la Tunisie a besoin de s’appuyer sur des partenaires capables de restaurer son image à l’extérieur et de convaincre anciens et futurs investisseurs de revenir. Ce sera principalement le travail de DSK. Un défi qui n’est pas pour déplaire à l’ancien ministre de l’Economie français qui devra employer tout son pouvoir de conviction pour rassurer les hésitants. Le coup d’envoi officiel aura lieu à la rentrée par le moyen d’une conférence destinée à populariser cette opération.
Ironie de l’histoire, trois autres banques d’affaires étaient en concurrence avec le consortium mené par le tandem Arjil-DSK. Il s’agit des deux groupes Rothschild et de la banque Lazard dont l’un des principaux associés n’est autre que… Matthieu Pigasse, ancien collaborateur de Strauss-Khan à Bercy.
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