Elisabeth Badinter, philosophe milliardaire (sic), la dame qui veut légiférer et autoriser la GPA et qui explique aux femmes que l’instinct maternel n’existe pas (resic) tout en ayant fait plusieurs gosses… est soutenue par 4 obédiences, autant dire toute la maçonnerie mafieuse. C’est une richissime publicitaire dont le seul objectif est de vendre la mondialisation, le mammonisme et qui se prend pour une philosophe qui a son mot à dire dans les choix sociétaux et l’avenir de la société humaine ! On se souvient d’une émission radio dans laquelle elle ne trouvait quoi répondre à la présence de publicités sexistes, produites également par son entreprise Publicis, elle la féministe de salon ! C’est notre Botul au féminin. Toutes les sottises répétées par cette dégénérée n’empêcheront pourtant jamais les médias de l’inviter et de la réinviter à l’infini. Mais, encore une fois, pas d’inquiétude à avoir, point de complot dans toutes ces manœuvres. C’est juste que l’agenda maçonnique est en marche mais que le peuple n’est pas du tout au courant. Appelez ça comme vous voudrez, mais pas de complot svp. (On imagine facilement que la Badinter est une sœur la truelle…).
« Élisabeth Badinter a, sur France Inter, dénoncé l’usage pernicieux du terme « islamophobie » contre la laïcité. Le Collectif partage cette critique. Nous regrettons que ces propos aient donné lieu à de violentes attaques injustifiées dans les médias et sur les réseaux sociaux, notamment de la part du rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité.»
Telles sont les trois premières phrases du communiqué publié le 26 janvier par le Collectif Laïque signé par 18 organisations, dont quatre obédiences maçonniques : GODF, FFDH, GLMF etGLMU.
La Grande Loge Féminine de France(GLFF), qui est membre du Collectif laïque, ne figure pas parmi les signataires comme cinq autres associations.
Le communiqué de soutien à Elisabeth Badinter met donc en cause le rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité, Nicolas Cadène, pour son tweet anti-Badinter… qui a révélé la crise interne au sein de cette institution. Elle dépend de Manuel Valls, lui aussi très critique à son égard.
François Koch