Il est décidément dans tous les mauvais plans le Patrick Cohen, le chroniqueur télé qui se prend pour un journaliste mais qui n’a jamais fait d’enquête sur le terrain, préférant certainement écrire ses chroniques en pianotant sur son clavier. Il a même été l’objet d’une plainte en diffamation par le Professeur Gilles-Éric Seralini dont les travaux prouvaient la cancérogénicité du glyphosate, ce qui n’avait pas eu l’heur de plaire à Patou ! Aujourd’hui Bayer qui avait racheté Monsanto vient d’être condamné aux États-Unis à payer une amende de 10 milliards de dollars pour avoir rendu malades 100 000 Américains ! Il avait utilisé les mêmes mots avec les mêmes insultes et diffamation envers le professeur Seralini que celles qu’il utilise aujourd’hui contre le professeur Didier Raoult ! Il serait temps que les gens se réveillent et que des plaintes soient déposées contre ce propagandiste qui n’a strictement rien à voir avec le travail journalistique et dont les prises de position sont extrêmement dangereuses pour la santé publique !
On imagine qu’à l’époque de Tchernobyl il aurait affirmé que le nuage s’était arrêté à la frontière franco-allemande ! Pour l’amiante il aurait affirmé qu’elle a les mêmes vertus que le plus puissant des bronchodilatateurs et qu’elle soignerait les asthmatiques ! Que le médiator n’a strictement rien à voir avec la calcification des valves cardiaques puisqu’aucune preuve ne l’a démontrée… Tout ceci bien entendu est financé par l’argent du contribuable puisque Patrick Cohen est payé grassement par la redevance audiovisuelle.
Il serait intéressant et important que nos lecteurs songent à envoyer des plaintes au CSA ainsi qu’à la direction de France 5, car il faut mettre un terme à la nuisance dangereuse de Patrick Cohen !
Le professeur Gilles-Eric Seralini a porté plainte contre les trois journalistes qui ont qualifié de « frauduleuse » ou « trompeuse » son étude controversée sur le Roundup de Monsanto.
Effet collatéral des affaires autour du glyphosate de Monsanto, trois journalistes sont visés par une plainte en diffamation, comme le révèle ce vendredi 26 avril le site Puremédias. Les journalistes ne sont pas n’importe qui : Patrick Cohen, de « C à vous » sur France 5, Mac Lesggy, d’« E = M6 » et Géraldine Woessner, d’Europe 1. L’homme qui se sent diffamé ? Gilles-Eric Seralini, auteur, en 2012, d’une étude controversée .
Tout commence le jeudi 17 janvier dernier, quand le magazine présenté par Elise Lucet, « Envoyé spécial », consacrait l’un de ses reportages au glyphosate. Soulignant les dangers de cet herbicide utilisé notamment par la firme Monsanto, l’enquête s’était notamment appuyée sur une étude controversée du professeur Gilles-Eric Seralini parue en 2012. Lors de la diffusion de ce reportage, plusieurs journalistes, dont Patrick Cohen, Mac Lesggy et Géraldine Woessner, avaient publiquement critiqué certains aspects du sujet de France 2, et notamment la référence à l’étude de Gilles-Eric Seralini comme le rappelle Puremédias.« Frauduleuse », « trompeuse »
Gilles-Eric Seralini attaque ainsi en justice, via trois plaintes, ces trois personnalités médiatiques qui ont qualifié de « frauduleuse » ou « trompeuse » son étude après la diffusion du reportage de France 2.
La première plainte vise un texte rédigé par la journaliste d’Europe 1 Géraldine Woessner et posté sur Facebook le 24 janvier 2019, en réaction au reportage d’« Envoyé spécial ». Dans son message, celle-ci qualifie l’étude du professeur de « frauduleuse ». Mac Lesggy est visé pour le tweet qu’il a fait en janvier dernier : « Pas l’ombre d’une remise en question… Mais comment s’en étonner quand cette émission a été préparée avec le fraudeur Seralini ? »
Enfin, la dernière plainte vise le journaliste Patrick Cohen pour ses propos tenus dans « C à vous », le 17 janvier sur France 5, face à Elise Lucet et Tristan Waleckx, auteur de l’enquête. Le journaliste avait qualifié la publication du professeur comme « l’une des pires tromperies scientifiques de ces dix dernières années » : « Il y a eu un tollé immédiat, l’étude était fausse. Comment présenter Seralini comme un témoin de moralité dans la bataille contre Monsanto ? »
Publiées en 2012, les conclusions de l’étude du professeur Séralini sur les effets sur les rats du maïs NK603 et de l’herbicide Roundup fabriqué par Monsanto, avaient été rejetées par l’Agence européenne de Sécurité des Aliments (Efsa) et l’Agence nationale de Sécurité sanitaire (Anses) en France. Mais elles ont nourri un débat d’une ampleur inédite sur les protocoles utilisés pour tester les OGM.
Les agences sanitaires française et européenne avaient notamment recommandé que soient conduites des études sur les effets à long terme de la consommation d’OGM.
Photo d’illustration : Patrick Cohen, le 9 septembre 2016, à Deauville. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)
26 avril 2019