Elle n’est pas bonne celle-là ? Tsipras qualifié de menteur par le frère la truelle X. Bertrand, responsable du scandale du Mediator et qui appartient à l’association de malfaiteurs et de voleurs, anciennement UMP, aujourd’hui, Les Ripoublicains. On reconnaît les dégénérés et vauriens à ce qu’ils n’ont pas de limites, leurs visages ne réagissant pas à la honte et ne rougissant même plus. Ils continueront jusqu’au bout de leur culot et de leur folie. Qu’il nous parle ce pitre imbécile des magouilles de Goldmann Sachs lorsque la comptabilité de la Grèce a été manipulée pour lui permettre d’entrer dans la zone européenne ! Les crapules responsables de cette arnaque qui a rapporté 300 millions d’euros à ces banksters sont toujours en poste !
Xavier Bertrand, candidat à la primaire de droite en 2016, a estimé dimanche que si le non l’emporte au référendum grec, “la Grèce sort de l’euro”. L’ancien ministre, invité du Grand Rendez-vous iTELE/Europe 1/Le Monde, a ajouté toutefois que la Grèce pourrait rester dans l’Union européenne. Selon lui, “les Grecs sont victimes de décennies de mensonges” et d’une “classe politique qui a été en dessous de tout”. M. Bertrand s’en est pris au ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, qui a accusé les créanciers de la Grèce de “terrorisme”. Il a aussi éreinté M. Tsipras, qualifié de “menteur”, de “vrai démagogue”. “Ce sera sans doute un des derniers à rouler des mécaniques en politique”, a estimé M. Bertrand, accusant le Premier ministre grec d’avoir commis un “vol à main armée” envers ses créanciers. La situation grecque est aussi la preuve, selon M. Bertrand, que “les extrêmes au pouvoir, ça ne marche pas”. Sur un tout autre sujet, le candidat Les Républicains dans la future région Nord-Pas-de-Calais/Picardie a annoncé qu’il quittera ses fonctions de député et de maire de Saint-Quentin s’il est élu en décembre. Il resterait cependant candidat à la primaire de 2016 pour la présidentielle. “Qui porterait mes idées? Personne. Donc je porterai mes idées”, a expliqué celui qui défend une “droite populaire, sociale”.
Le Figaro.fr avec AFP