Afin de vous démontrer que cette promesse du président Emmanuel Macron ne sera jamais tenue et qu’elle ne sert qu’à faire des effets d’annonce, pourquoi ne commence-t-il pas par jeter en prison tous ceux qui font la promotion de la pédocriminalité comme par exemple les éditions Gallimard qui publient très régulièrement le pédophile assumé Gabriel Matzneff qui a sorti d’ailleurs hier son dernier tome de journal intime. Nous avons déjà parlé sur ce site des publications de ce pédocriminel dans son livre Mes amours décomposés que vous pourrez lire ci-dessous :
Gabriel Matzneff était un visiteur du soir de l’Élysée du temps de François Mitterrand dont il était un intime. Gabriel Matzneff a également une rubrique sur le site Internet du Point intitulée Le diable dans le bénitier. Le jury du prix Renaudot compte parmi ses membres un ami intime de Gabriel Matzneff qui a très souvent voyagé avec lui à Manille aux Philippines pour du tourisme sexuel pédophile. Il est également membre du comité de lecture de la prestigieuse maison Gallimard !
Si Emmanuel Macron voulait combattre la pédocriminalité qu’il commence par mettre les moyens concernant l’enquête actuelle sur le réseau international de Jeffrey Epstein ! Qu’il condamne également fermement Roman Polanski et le livre aux autorités américaines pour le crime commis il y a 44 ans, le viol d’une gamine de 13 ans après l’avoir droguée.
Non, tout ceci ne sera pas fait, car nous sommes en France dirigée par une caste aux mœurs criminelles. Non seulement la France ne condamnera jamais Roman Polanski mais elle va même le financer avec de l’argent public !
Dans le cadre de la célébration du 30ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant ce mercredi 20 novembre, le président Emmanuel Macron s’est rendu à l’Unesco à Paris et a annoncé le durcissement de sanctions pour la pédopornographie, notamment.
Des ONG, associations et collectifs ont également prévu des événements pour réclamer une meilleure application de la convention.
Dans un discours au siège de l’Unesco à Paris, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour protéger les enfants de l’exposition à la pornographie, et martelé sa volonté de durcir les sanctions pour consultation et détention d’images pédopornographiques. Les peines seront portées à cinq ans et leurs utilisateurs seront automatiquement fichés, selon le chef de l’État. Cela dans le but de leur interdire tout travail auprès d’enfants.
« Jusqu’à aujourd’hui, on pouvait avoir été condamné pour consultation et détention d’images pédopornographiques, mais exercer une profession en contact avec les enfants », a-t-il déclaré, justifiant que « cette information, pourtant capitale, n’était pas accessible à tous les employeurs ».Des fichiers consultables par des responsables de crèches, écoles et clubs de sport
Selon cette mesure, les personnes condamnées pour ce délit seront inscrites au fichier [Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS)], une base de données créée en 2004 pour « prévenir la récidive des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes » et « faciliter l’identification des auteurs de ces infractions », selon son projet de loi.
En y inscrivant les utilisateurs de pédopornographie, Emmanuel Macron souhaite que « toutes les personnes qui dirigent des crèches, des écoles, des clubs de sport, des associations agréées non seulement [puissent], mais [doivent] consulter ce fichier quand elles embauchent quelqu’un ».
« Telle personne qui parfois a commis le pire, il y a cinq ans, dix, quinze ans, si elle a purgé sa peine, elle doit pouvoir se réinsérer dans la société. Mais on ne doit pas la réexposer à nos enfants », a-t-il précisé.
Aujourd’hui, on peut avoir été condamné pour consultation d’images pédopornographiques et exercer une profession en contact avec des enfants. Nous allons mettre fin à ce scandale absolu :
La France sous le choc d’une affaire de chirurgien suspecté de pédophilie
Ces annonces interviennent alors que la France est sous le choc d’une affaire de pédophilie d’une ampleur inédite. Un ancien chirurgien – condamné pour détention…
Le président français Emmanuel Macron, aux côtés du Défenseur des droits Jacques Toubon et Audrey Azoulay, directrice-générale de l’UNESCO, au siège de celle-ci, à Paris, le 20 novembre 2019. © Eric Feferberg/Pool via REUTERS
20 novembre 2019