Voici encore une nouvelle technique de camouflage des effets indésirables des injections d’ARN messager par les autorités sanitaires qui viennent de publier une étude complètement stupide nous apprenant ce que l’on sait depuis très longtemps, puisqu’il est question d’une augmentation de 14 familles de cancers entre 2000 et 2012 ! Bien entendu, il a fallu attendre 2022 pour communiquer sur cette augmentation, c’est-à-dire 10 ans plus tard ! Ceci ne tient absolument pas la route, c’est ridicule. Franchement, quel est l’intérêt de communiquer avec 10 ans de retard au sujet d’un grave problème de santé publique ?
Nous le savons depuis des décennies maintenant, il y a une explosion des cancers à cause de notre mode de vie, de la pollution de notre environnement dans sa totalité : l’air, la mer et les eaux, la terre… Nous respirons un air totalement pollué, nous absorbons une nourriture empoisonnée par les pesticides et les additifs alimentaires, l’eau est également polluée et contient des médicaments… sans oublier bien entendu les rayonnements électromagnétiques qui sont de plus en plus importants avec la mise en place notamment de la 5G.
De plus, il sera facile de connaître l’origine de ces nouveaux cancers causés par des effets indésirables des injections d’ARN messager anti Covid-19 car de nombreux pays ont utilisé ces injections alors qu’ils ont des pollutions très nettement inférieures à celle des pays occidentaux riches. Si l’augmentation de ces cancers se retrouve dans ces pays pauvres, ce sera la preuve de l’implication des injections d’ARN messager.
Enfin, afin de démontrer l’absurdité d’une telle communication, absolument rien ne sera fait pour faire baisser immédiatement la pollution en sanctionnant les pollueurs et en cessant d’ajouter des produits chimiques cancérigènes dans la nourriture, la production agricole… Absolument personne n’a demandé la mise en place de la 5G, la téléphonie mobile fonctionnait déjà parfaitement et cette augmentation de l’énergie dans l’atmosphère est juste criminelle.
Les cancers chez les individus jeunes, de moins de 50 ans, ont augmenté de façon inquiétante selon une étude récente parue dans Nature Reviews Clinical Oncology. Un groupe de scientifiques dirigé par l’université d’Harvard a dressé une liste longue de 14 familles de cancers différents dont l’incidence a augmenté chez les moins de 50 ans entre 2000 et 2012.
« Nous avons calculé que ce risque augmente à chaque génération. Par exemple, les personnes nées en 1960 ont un risque d’avoir un cancer avant leur 50 ans plus important que celles nées en 1950, et nous prévoyons que ce risque continuera d’augmenter dans les prochaines générations », explique Suji Ogino, médecin et membre de l’équipe de recherche.
Le mode de vie et l’alimentation suspectés
Selon les scientifiques d’Harvard, cette tendance inquiétante, au point qu’elle est soupçonnée d’être une « épidémie mondiale émergeante », prendrait racine dans le mode de vie et le régime alimentaire occidental qui s’est imposé dans beaucoup de pays du monde. L’exposome, c’est-à-dire tous les facteurs auxquels nous sommes exposés durant notre vie et qui influencent notre santé, a changé à partir du milieu du XXe siècle.
« Parmi les 14 types de cancer en augmentation que nous avons étudiés, huit étaient reliés au système digestif. Notre alimentation nourrit les micro-organismes dans nos intestins. Le régime alimentaire affecte directement la composition du microbiote et à la fin, ces changements peuvent influencer le risque de maladie », précise Tomotaka Ugai, chercheur à l’École de santé publique d’Harvard et premier auteur de l’étude…