Secrète est un bien grand mot, car la rencontre s’est faite, certes à la dérobée, mais devant des dizaines de personnes dans l’une des salles accueillant un dîner de gala. De toutes façons, la Marine est à la tête d’un FN entièrement refondé, largement infiltré par la maçonnerie et le lobby LGBT et ne cachant plus ses sympathies vis à vis de l’entité sioniste scélérate (G.-W. Goldnadel…). Son parti — un ersatz de celui fondé par son père — aspire à accéder à tout prix au pouvoir et pour cela, il est prêt à s’allier avec le diable. N’ayant pas hésité à commettre un ignoble parricide, la Marine ne s’encombrera d’aucun scrupule pour gommer l’étiquette qui lui collait à la peau en héritant du FN, si bien qu’aujourd’hui, plus rien ne la différencie des politiques de l’UMPS, avec un racisme et une islamophobie plus exacerbés encore. Je crois qu’il est essentiel maintenant pour vous de lire l’excellent livre de Paul-Éric Blanrue, Jean-Marie, Marine et les juifs, absolument tout y est. Encore une fois, afin de ne pas tomber dans la fausse dissidence en carton, rappelons que Grosal a censuré ce livre pendant plusieurs semaines, sans jamais en avoir parlé alors que maintenant, il tire à boulets rouges sur Marine…
[citation source=””] COULISSES. Participant, à New-York, le 21 avril, à la soirée de gala du magazine Time, qui l’a élu dans son palmarès des « 100 personnalités les plus influentes du monde », Marine Le Pen a rencontré l’ancien premier ministre travailliste (socialiste) israélien, Ehud Barak dans l’une des salles du Time Warner Center. Avec le concours de son épouse, qui parle le français, Ehud Barak a notamment déclaré à la présidente du FN : « Je suis très heureux de vous rencontrer et je vous félicite pour votre action ». A l’issue de cet échange, qui duré près d’une dizaine de minutes, les deux ont convenu de se revoir à l’occasion, peut-être, d’un voyage de Marine Le Pen en Israël. Outre sa carrière dans les forces spéciales de l’armée et son poste de chef de gouvernement israélien (1999-2001), Ehud Barak a été, entre autres, ministre de la Défense du gouvernement de coalition de Benyamin Netanayahou, de 2007 à 2013. [/citation]