Ben voilà, on y est ! Non seulement la pédocriminalité n’est pas combattue par cet état décadent mais elle est même encouragée puisqu’une gamine de 13 ans – voire moins – peut se faire prescrire le nécessaire pour qu’elle ne tombe pas enceinte ! N’est-ce pas merveilleux ! Au lieu de les encourager à exceller à l’école ou dans un métier, l’état leur ouvre les voies de la débauche dès le plus jeune âge. Il est vrai que l’on ne peut pas non plus trop compter sur l’école puisque le Pr Israël Nisand nous a appris que des collégiennes pratiquaient régulièrement des fellations dans les toilettes de leurs établissements… sans oubleir les dangers de la pornographie qui ne sont pas non plus combattus par l’état, bien au contraire.
Bref, c’est Gabriel Matzneff qui doit êtres heureux aujourd’hui, lui qui a passé sa vie à faire prescrire à ses victimes mineures des pilules contraceptives par Michèle Barzach, une ministre de la république !
La mesure était inscrite dans le budget de la Sécurité sociale pour 2020 et le décret d’application est paru ce jeudi, et entrera en vigueur ce vendredi. Désormais les jeunes de moins de 15 ans n’auront plus à régler le « ticket modérateur » pour les consultations de médecins ou sages-femmes, les examens biologiques, les médicaments et les dispositifs contraceptifs. Les frais liés à la contraception des jeunes filles de moins de 15 ans seront désormais pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie.
Pour faire baisser le nombre d’IVG
Pour justifier cette gratuité, le gouvernement avait indiqué fin 2019 que « chaque année, près de 1 000 jeunes filles de 12 à 14 ans sont enceintes en France » et que « parmi ces grossesses, 770 se concluent par une IVG ».
Cette gratuité était déjà accordée depuis 2013 à leurs aînées de 15 à 17 ans, ce qui a permis de faire baisser nettement le taux de recours à l’IVG (interruption volontaire de grossesse) sur cette tranche d’âge, passant de 9,5 à 6 pour 1.000 entre 2012 et 2018.