Le plus haut responsable de la vaccination anti Covid-19 helvète revient sur les cas d’effets indésirables. Bien entendu, il les minimise et ne donne pas de chiffres précis car, à notre avis, la situation est assez dramatique. En revanche, il avoue que ces effets indésirables graves existent bel et bien et qu’il faut les prendre au sérieux. Chez nous, en France, ces effets indésirables n’existent pas, c’est l’exception scientifique française, l’exception médicale hexagonale que doit nous envier la planète entière. Les propos tenus par Monsieur Christoph Berger sont tout à fait compréhensibles, étant donné qu’il est impliqué à 1000% dans la mise en place de la vaccination obligatoire anti Covid-19, il ne peut pas du jour au lendemain expliquer que c’était une erreur monumentale, une escroquerie à plusieurs milliards de dollars.
Néanmoins, informations importantes, il revient sur la nécessité, premièrement de ne plus vacciner de manière obligatoire vu l’inefficacité des injections concernant la transmission mais que chacun prenne la décision selon les risques qu’il encourt. Deuxièmement il revient sur les jeunes en expliquant que l’injection d’ARN messager n’a aucun sens chez eux étant donné qu’ils ne courent aucun risque avec la maladie. Le paradigme covidiste est en train de s’écrouler dans le monde entier sauf en France car nous sommes dirigés par des sociopathes corrompus et des incompétents notoires.
Le président de la Commission pour les vaccinations, Christoph Berger, estime que la Suisse a mené une bonne stratégie contre le Covid.
« Nous avons mieux convaincu les groupes à risque de se vacciner que d’autres pays. Nous nous sommes concentrés sur la population âgée, du coup, nous n’avons pas les problèmes que Singapour a eus ou que la Chine a aujourd’hui », souligne-t-il dans une interview accordée aux journaux du groupe Tamedia.
Mais il reconnaît que tout n’est pas rose pour certaines personnes qui se sont fait piquer. « Oui, il existe des symptômes de vaccination indésirables, y compris des symptômes graves. Nous devons prendre ces personnes et leurs souffrances au sérieux, et les aider aussi », dit-il.Chaque cas est différent
Le hic, c’est que les symptômes diffèrent d’un cas à l’autre, explique Christoph Berger. « Il n’y a pas encore de diagnostic clair de ce syndrome post-vaccination. C’est pourquoi nous ne pouvons pas traiter toutes les personnes concernées de la même manière ; chaque cas doit être pris individuellement », souligne-t-il.
L’expert est toutefois convaincu : « Après deux ans, il est clair que le bénéfice de la vaccination l’emporte de loin sur le risque », affirme-t-il. Mais désormais, nous ne sommes plus dans une pandémie menaçante. Du coup, « avec la vaccination Covid, c’est comme la vaccination contre la grippe ou les tiques. Chaque personne doit connaître les risques et décider par elle-même ».
Christoph Berger rappelle que le vaccin protège les personnes à risque pendant quelques semaines, voire mois de complications dangereuses. Mais pour les personnes plus jeunes et en bonne santé, il ne fait plus guère de différence. « Il ne protège ni contre les infections, ni de manière fiable contre les maladies bénignes », dit-il.
Pour rappel, le 17 janvier dernier, l’OFSP dénombrait 134 hospitalisations et 12 morts dues au Covid en une semaine.