Ceci n’est rien d’autre qu’une opération de propagande comme le faisait la jeunesse hitlérienne qui pensait bien faire elle aussi en son temps ! L’enfer est pavé de bonnes intentions sauf qu’il est inconcevable aujourd’hui de ne pas voir les mensonges, les manipulations et surtout les nombreux crimes de l’OMS !
Les jeunes Global Shapers sont une armée de trolls qui va investir les réseaux sociaux pour « combattre », selon eux, les rumeurs et autres fausses nouvelles, sauf qu’il serait intéressant qu’ils comprennent au moins qu’il n’y a pas eu de morts âgés de moins de 45 ans lors de cette pandémie de coronavirus ce qui rend leur implication totalement absurde. Qu’ils se demandent pourquoi on a fermé les écoles ? C’est une des plus grandes fake news de ce scandale sanitaire !
La prochaine étape sera, à l’instar des fake zététiciens, de balancer aux autorités – à la Kommandantur – toute analyse discordante, toute pensée critique vis à vis de la Doxa…
Un groupe de jeunes influenceurs collabore avec l’OMS/Europe afin que des conseils sanitaires adaptés parviennent aux communautés, aux familles et aux individus dans les pays de la Région européenne de l’OMS.
La Global Shapers Community, au départ un projet pour les jeunes mené en collaboration avec le Forum économique mondial, est un réseau de plus de 9 000 jeunes influenceurs du monde entier, des personnes particulièrement instruites et aussi socialement motivées. Rien que dans les 53 États membres de la Région européenne, on compte 2 000 volontaires dans les centres implantés dans la quasi-totalité des pays.
« J’avais l’impression que les jeunes avaient beaucoup de doutes et de questions sur la COVID-19. Nous voulions les aider en créant une plate-forme qui mettrait directement en contact les experts et les jeunes », explique Lahiru Elvitigala, nouveau conservateur du centre des Global Shapers de Copenhague.Encourager les jeunes à agir
Les faits ont montré, dès le début de la pandémie de COVID-19, que le risque de contracter une maladie grave était faible chez les jeunes. Pour cette raison, certains jeunes se sont montrés réticents à suivre les lignes directrices recommandées, ou ont fait preuve d’indifférence à cet égard. Pour d’autres, ce fut en revanche un appel à l’action.
« En temps de crise, on se sent parfois comme paralysé », souligne Derya Vollings, chargée de communication pour le centre des Global Shapers de Copenhague. « Il est important de savoir que l’on peut agir, et d’avoir l’impression de contribuer. »
L’OMS/Europe donne la priorité à l’établissement de relations solides avec un large éventail de publics, notamment les jeunes, la confiance étant au cœur de toutes ses activités de communication sur les risques et de participation communautaire. Des webinaires organisés régulièrement par l’OMS fournissent au réseau des Global Shapers des informations précises en temps utile, ainsi qu’une vue d’arrière-plan de la riposte à la COVID-19. Ces séances permettent également à l’OMS d’être à l’écoute des véritables préoccupations des jeunes de la Région.S’unir pour combattre les rumeurs sur les médias sociaux
Grâce à sa collaboration avec les Global Shapers, l’OMS/Europe peut accéder à un groupe Facebook où des membres de toute la Région publient les rumeurs qu’ils rencontrent, rendent compte de l’humeur ou du ton des discussions engagées sur leurs chaînes, posent des questions, et partagent des photos, des informations ainsi que des idées de projets. L’OMS/Europe analyse ensuite ces informations pour mieux adapter sa communication sur les risques, et fait état de ces préoccupations à l’équipe qui, au Siège de l’OMS, est chargée de mettre fin aux idées reçues afin de pouvoir y répondre.
Les Global Shapers publient également des messages sur leurs réseaux de médias sociaux avec des informations sur les rumeurs rapportées par le groupe Facebook. Jusqu’à présent, 12 000 personnes ont accès à ces messages, et l’objectif est de cibler 100 000 personnes d’ici la fin mai avec des informations provenant de l’OMS sur la COVID-19.
« Nous nous sommes rendu compte que nous, en tant que groupe, pouvions en faire davantage », explique Lahiru. « Cette initiative a donc évolué : au début, il s’agissait simplement de recevoir des informations de l’OMS. Maintenant, nous participons activement à la surveillance des rumeurs et nous nous engageons sur les médias sociaux. »
Au niveau des pays, des centres locaux ont tenu les bureaux de pays de l’OMS au courant des possibilités de participation à des initiatives communautaires, et d’adapter les messages au public local, dans la langue du pays ou de la région. Le « niveau de précision » des connaissances ainsi que des interventions menées au niveau communautaire auprès des familles et des personnes considérées comme à risque ou vulnérables, de manière culturellement appropriée et facilement accessible, constitue une énorme opportunité à cet égard.
« Cette initiative a permis d’améliorer les connaissances de nombreux jeunes de la Région sur la COVID-19 », explique Lahiru. « Elle nous a tous aidés à jouer un rôle actif dans la lutte contre la désinformation sur cette maladie. »
Organisation Mondiale de la Santé – Europe
Comment l’OMS combat-elle la COVID-19 ?
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