*Article initialement publié le 8 mars 2017,republié le 8 avril 2022 revu et augmenté.
Si l’on est un adepte farouche du combat, que notre raison de vivre est de voir des conflits, il est difficile de vivre dans un monde en paix. C’est même impossible pour les adeptes forcenés du pugilat militaire. Ainsi donc, quand ceux-ci n’existent pas, les adorateurs de conflits en créent de toutes pièces. Cela implique fatalement qu’il faut au préalable créer des adversaires de manière artificielle.
Dans le plan des antagonistes d’une future guerre de grande ampleur, la Russie de Poutine est un pion majeur sans qui rien ne serait possible. Poutine, le fameux, l’incarnation du messie aux yeux des masses incrédules et autres identitaires adeptes de la supériorité des races. En France, les adorateurs du Tsar sont légion au sein de la dissidence qui se tricote un roman national et ethnique à longueur de temps. Elle est conduite à l’abattoir par un sexagénaire exhibitionniste qui a l’étrange particularité d’être le Suisse le plus juif des catholiques français, Alain Solal l’ashkénaze le bien nommé. Rarement Poutine n’a eu un laquais à son service tel que Solal. C’est presque indécent.
Poutine, l’ex-agent du KGB qui a de facto collaboré avec le Mossad dans le cadre de son travail, comme la plupart des services secrets, entretient les meilleures relations avec l’État imposteur d’Israël. N’a-t-il pas osé déclarer en juillet 2014, alors que Gaza était enseveli sous les bombes israéliennes : “Je soutiens Israël dans son droit de défendre ses citoyens” ?
Poutine est officiellement arrivé au pouvoir en 1991, à l’époque du “coup d’État de Boris Eltsine”, dont il a pris une part importante. Officiellement, il était simplement conseiller aux affaires internationales auprès du maire de la ville de Leningrad (aujourd’hui Saint-Pétersbourg), tout en faisant partie du KGB et arrondissait ses fins de mois en tant que chauffeur privé[1].
Officieusement, il influençait en back-office le putsch contre le Kremlin. Grâce à ce coup d’État, lui et ses oligarques juifs (Abrahamovich, Berezovski, Khodorvski, etc…) ont pu, sans vergogne, précipiter le pays dans le libéralisme le plus brutal et ont littéralement dépouillé (le mot est faible) l’Ex-URSS. Sous sa direction, les oligarques se sont accaparés à leur propre personne les biens nationaux. Ainsi, si l’on observe sous l’angle tribaliste de l’Histoire russe moderne, on constate que les sionistes Poutine et Eltsine ont non seulement permis à ces oligarques de faire main basse sur les richesses du pays, créant dans le même temps un effondrement de l’économie russe monstrueux, mais ils ont en plus participé à la colonisation de la Palestine via d’autres Russes qu’ils ont fait immigrer en masse [2] en Israël dans les territoires spoliés aux Palestiniens.
Pour savoir à quoi sert le pion Poutine, il faut remonter un peu en arrière. En août 1999, la ville de Moscou est frappée par une série d’attentats terroristes. Une première bombe explose, tuant une personne et en blessant une quarantaine d’autres. Quelques jours plus tard, le 4 septembre 1999, une voiture piégée explose près d’un immeuble dans la ville de Bouïnaksk, au Daghestan. À Moscou, le 9 septembre 1999, un bâtiment de neuf étages est complètement détruit par une explosion. On estime qu’entre 300 et 400 kg d’explosifs ont été placés au rez-de-chaussée de l’immeuble. Le bilan est lourd : 94 morts et 249 blessés. Finalement, à Moscou, le 13 septembre 1999, une nouvelle bombe explose dans un immeuble au sud de la ville, le bâtiment de huit étages s’effondre complètement. Le bilan est encore une fois très lourd : 118 morts et plus de 200 blessés. En l’espace de quinze jours, la Russie a été attaquée par quatre attentats terroristes distincts.
Dès le 13 septembre, Poutine, en tant qu’ex-responsable du FSB (il a quitté ses fonctions le 9 août 1999), fait une déclaration sans ambiguïté. Il affirme que les responsables de ces attentats ne sont autres que les terroristes liés à Oussama Ben Laden. Deux ans avant le 11 septembre, Poutine nous fait une révélation concernant le futur “où est Charlie du monde moderne occidental”, Oussama Ben Laden.
Étrangement, cette série d’attentats a été annoncée par plusieurs journalistes européens quelques mois avant. En juin 1999, deux journalistes occidentaux, Jan Blomgren et Giulietto Chiesa, annoncent que des attentats allaient avoir lieu en Russie très prochainement. Le mois suivant, le journaliste russe Alexandre Jillin prévient à son tour dans le Moskovskaïa Pravda de l’imminence d’attentats à Moscou.
Ce schéma d’annonce d’attentats quelques mois avant qu’ils n’aient lieu est un copier-coller de ce qui arrivera deux ans plus tard lors du 11 septembre aux États-Unis.
Mais le plus étrange dans toute cette histoire, c’est l’événement qui est survenu le 22 septembre 1999 dans la ville de Riazan, à environ 200 km au sud-est de Moscou. Des habitants d’un immeuble ont été surpris par un remue-ménage assez singulier. Trois individus font des va-et-vient entre leur véhicule et les caves de l’immeuble. Les plaques d’immatriculation du véhicule sont partiellement camouflées, ce qui a attiré l’attention des habitants. Ils observent les trois personnes décharger des sacs dont ils n’arrivent pas à deviner le contenu. Ils ont immédiatement averti les services de sécurité, qui se sont dépêchés sur les lieux. Après une rapide enquête, le FSB a non seulement conclu que les sacs ne contenaient pas du sucre comme indiqué sur l’emballage, mais des explosifs. En particulier de l’hexogène qui était relié à un détonateur. L’enquête a permis de retrouver la voiture utilisée par les trois individus. Une Lada blanche garée dans un parking non loin de l’immeuble. Les plaques d’immatriculation remontent… au FSB. Autrement dit, les services de sécurité russes. Deux suspects sont finalement interpellés et, surprise !, ils étaient membres du FSB. Moscou a dû s’en mêler et a ordonné leur libération immédiate. Le fraîchement nommé responsable du FSB, Patrouchev, a annoncé à la télévision qu’il s’agissait en réalité d’une fausse bombe utilisée dans un exercice et que les sacs contenaient réellement du sucre.
Étrangement, personne dans la région, que ce soit au sein des services de sécurité ou des chefs locaux, n’était au courant qu’il y avait un exercice antiterroriste dans l’immeuble.
Cette série d’attentats devait offrir un justificatif à la Russie de Boris Eltsine pour valider le déclenchement d’une seconde guerre contre la Tchétchénie.
Il faut noter que le gouvernement russe n’a pas attendu que les attentats aient lieu pour déclencher cette guerre puisqu’elle a commencé le 26 août 1999, soit un peu moins d’une semaine avant le premier attentat du 31 août 1999 à Moscou.
Deux ans avant Georges W. Bush, Vladimir Poutine essuyait les plâtres de la menace terroriste islamiste qui allait déferler sur le monde. L’essai n’était cependant pas concluant, mais il a permis de déclencher une guerre injustifiée pour les intérêts privés d’oligarques russes. Les méthodes sont les mêmes : on utilise les services de renseignement pour créer les attentats et les attribuer à des groupuscules terroristes qu’on connaît parfaitement, mais qui ne sont impliqués en rien.
Deux ans plus tard, Oncle Sam, aidé du Mossad et probablement d’agents du FSB, réussira là où Poutine a échoué, et de quelle manière !
Quoi ?! Faire sauter nos propres immeubles? C’est vraiment… du pur délire ! Complètement insensé. Personne dans les services spéciaux russes ne serait capable d’un tel crime contre son propre peuple.» Vladimir Poutine[3]
Ce qui se passe depuis huit ans en Ukraine avec l’annexion de la Crimée et ce conflit généralisé depuis mars 2022 n’est que la continuité du rôle de Vladimir Poutine. Celui de la marionnette du nouvel ordre mondial. Il n’a aucune volonté propre, il est téléguidé et agit tel la marionnette qu’il n’a jamais cessé d’être. De l’autre côté, vous avez les autres marionnettes du nouvel ordre mondial, les Occidentaux américano-sionistes, qui jouent la partition opposée et sanctionnent la Russie pour son audace et ses crimes perpétrés en Ukraine, avec en tête de pont notre président pianiste bistouquette-man Zelensky.
Il est pourtant aisé de comprendre que Poutine est un leurre, une mise en scène faite homme ayant un rôle bien précis à jouer. Comme toute création, il a une date de péremption. Nombre de personnes pensent qu’il a encore beaucoup de choses à réaliser et que son temps n’est pas encore venu. Ils ne peuvent percevoir l’odeur nauséabonde qui se dégage pourtant du personnage. Inutile d’être physiquement à ses côtés pour la sentir, elle émane de lui par photos et images interposées. Poutine est un produit périmé depuis longtemps. Il a dépassé sa DLUO le jour où il a pris le pouvoir. C’était la raison de son « existence » en tant qu’entité politique et personnage public.
Le syndrome « Milli Vanilli »
Revenu au pouvoir en 2012, Poutine n’ignore pas que le programme de pilotage automatique de la Russie (conçu et programmé des décennies en amont) s’est enclenché. La marionnette Vladimir a alors joué le rôle pour lequel il a été choisi : poser ses mains sur le gouvernail du pays, accompagnant docilement les mouvements de ce dernier et donnant l’illusion qu’il est celui qui détient les commandes. Il prête (sans intérêt) son image à des décisions et des paroles dont il n’est ni l’auteur ni le compositeur et encore moins l’interprète. La Russie fonce vers son destin guerrier dirigé par un président qui gouverne en playback*. Poutine est, les dreadlocks et le physique avantageux en moins, le copié-collé version politique du célèbre groupe de musique des années 90 Milli Vanilli qui interprétait en playback des chansons enregistrées par d’autres chanteurs. Heureusement la supercherie a rapidement éclaté au grand jour.
Tout comme Milli Vanilli, la vérité sur la duperie Poutiniène apparaîtra à la face du monde. Ce n’est plus qu’une question de temps. Son heure sera alors venue de retrouver sa place originelle, dans les poubelles du faux nouvel ordre mondial.
Vous l’ignorez peut-être, mais le précurseur du recyclage n’est autre que le NOM. Il a mis au point ce procédé révolutionnaire qu’est la valorisation de ses propres déchets. Ce n’était pas par souci écologique, non, simplement que le NOM ne produit rien d’autre que des déchets, aussi bien idéologiques, conceptuels, sociétaux, relationnels, culturels ou économiques. Toutes ses productions sont de gigantesques montagnes de déchets que l’on déverse en masse de par le monde et qui étouffent les Nations. C’est justement le but, l’étouffement par déchets interposés, la suffocation intellectuelle qui empêchera alors la réaction physique concrète des peuples. Mais pour cela, il faut qu’il y ait un contrôleur des travaux finis, un contremaître, un capo qui supervise le chantier. Ce personnage est le déchet le plus abouti en matière de détritus. C’est la crème de la crème du recyclage qu’offre le NOM. La pièce-étalon étant Poutine lui-même, qui a été utilisé en espion, jeté au rebut, réhabilité en homme politique, remis au rebut avant d’être réutilisé par le Nouvel Ordre Mondial, les maniaques de l’ordre. Pour être ainsi obnubilés par l’ordre, ils doivent quelque part être incroyablement dérangés mentalement à la base. C’est même à cela qu’on les reconnaît.
Ainsi donc, le recyclage du déchet le plus valorisé chez le NOM, c’est l’humain et Poutine sa quintessence. Une fois son temps expiré, le temps sera alors venu de Put In on the trash !
[1]https://www.lefigaro.fr/flash-actu/chauffeur-de-taxi-pour-joindre-les-deux-bouts-la-vie-de-poutine-a-la-chute-de-l-urss-20211212
[2] L’émigration massive des juifs de l’ex-URSS constitue l’un des effets les plus spectaculaires de l’ouverture du rideau de fer. Plus de 400 000 juifs ont quitté l’URSS au moment de l’ouverture des frontières en 1990-91, plus d’un million (en comptant les membres non juifs de leurs familles) entre 1989 et 1998. Relativement aux données du recensement soviétique de 1989, la communauté juive des nouveaux Etats indépendants a ainsi diminué de plus de moitié. On est en présence d’un véritable exode qui continue à vider l’espace russe et ex-soviétique de cette population : celle de l’Empire russe était forte de 5,2 millions de personnes lors du recensement de 1897, celle de l’URSS en 1989, de 1,4 million, celle des nouveaux Etats indépendants se monterait, au début de 1996, à quelque 600 000 personnes, dont 360 000 en Russie. L’Etat hébreu est le premier bénéficiaire de cette émigration massive : il en a accueilli les trois quarts. Les 750 000 personnes en provenance de cette région qui se sont installées depuis 1990 sur son sol représentent aujourd’hui 13% de sa population. Sans tenir compte des 150 000 Soviétiques qui ont immigré dans les années soixante- dix, un citoyen israélien sur sept ou huit est désormais « russe ». Les juifs ex- soviétiques seraient maintenant plus nombreux en Israël que dans les nouveaux Etats indépendants. Une immigration d’une telle ampleur (à l’échelle de la France, cela représenterait environ huit millions de personnes) ne peut qu’avoir un immense impact sur Israël. Des trois grandes communautés ex-soviétiques qui se sont créées depuis 1990 à l’étranger (outre Israël, il s’agit de l’Allemagne et des Etats-Unis), elle est probablement celle qui marquera le plus fortement le pays d’accueil. Les nouveaux immigrants se sont insérés en un laps de temps relativement court dans la société israélienne : la plupart d’entre eux ont aujourd’hui un travail, participent à la vie politique et se déclarent satisfaits de leurs conditions de vie. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00097442/document
[3] https://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20131011.OBS0834/le-crime-qui-a-fait-poutine.html
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