https://youtu.be/bnYln4CCwDM
Suite à son témoignage accablant, au sujet des dons, de la mauvaise gestion et de l’utilisation des finances, l’ex-salarié de la mosquée de Paris, affecté à la sécurité, revient point par point sur les différents postes qui font rentrer de l’argent, en commençant par le restaurant loué 350 000 € par an. Il citera le hammam/sauna qui rapporterait entre 25 et 35 euros par personne tout en déconseillant à tous les musulmans de s’y rendre. Il parle de 40 clients environ par jour, ce qui avoisinerait la recette quotidienne de 1000 € ! Le ticket d’entrée pour les touristes désirant visiter la mosquée est à 3 € par personne et les visiteurs sont nombreux. Enfin, 200.000 € proviennent de zakat el-Fitr !
Il abordera une fois encore le problème de l’entretien des jardins intérieurs, totalement négligé et celui des sanitaires qui ne sont pas entretenus et sont inaccessibles aux handicapés.
Il rappelle que l’Algérie offre chaque année la coquette somme de 2.5 millions d’euros au titre du budget de fonctionnement de la mosquée ! Sans oublier bien sûr les dons que font les fidèles 52 fois par an c’est-à-dire lors de la grande prière du vendredi ! Au total, il est question, en effet, de très grosses sommes d’argent qui jurent avec l’état tout à fait désastreux dans lequel se trouve la mosquée. Le poste le plus rémunérateur revient sans conteste à la certification des viandes halal. Il faut savoir que, le plus souvent, les contrôles nécessaires ne sont jamais réalisés – ce qui en soi est gravissime dogmatiquement parlant -, si bien qu’un simple coup de tampon permet de rapporter des sommes gigantesques !
La question est simple : où passe donc tout cet argent ? La question taraude d’autant l’esprit que l’état des lieux est lamentable, avec des sanitaires à l’abandon, des tapis usés et sales, les jardins non entretenus.
Nous invitons les associations intéressées par ce type d’action à déposer plainte contre les responsables de la mosquée de Paris afin d’y voir plus clair dans la gestion de cet édifice religieux naguère prestigieux. D’autant que les services du consulat et de l’ambassade sont au courant de ce scandale. Les autorités françaises sont également dans l’obligation de déposer plainte, en vertu de l’article 40 du code de procédure pénale, mais ceci ne sera pas fait car c’est de cette façon qu’ils les tiennent, à moins d’un miracle…