Le gouvernement va encore une fois prendre une décision extrêmement grave qui va détruire encore plus l’économie française et la mener directement à l’effondrement. Cette décision n’a strictement rien à voir avec la crise sanitaire puisque l’on sait via l’exemple argentin que le confinement ne sert strictement à rien et qu’il n’y a absolument aucune étude scientifique qui valide son utilité. Par contre, on sait très bien que le confinement, à défaut de ralentir la circulation du virus, va ralentir la circulation de l’argent, détruire les emplois, faire chuter le PIB… ce qui aura des conséquences dramatiques sur le système de santé français qui est déjà très mal en point.
Pire que tout, depuis le mois de mars, l’exécutif n’a absolument rien fait pour tripler voire quadrupler le nombre de lits de réanimation. Cet afflux de malades et cette tension hospitalière existent en France depuis des années. Malgré cela, le gouvernement Macron et ses prédécesseurs ont continué à fermer des lits et à diminuer les moyens de l’hôpital public.
Donc, le premier abruti qui va venir nous expliquer que ces politiciens aussi incompétents que stupides sont là pour s’occuper de notre santé et soit un débile mental, soit un membre de la secte La république en marche.
Emmanuel Macron pourrait annoncer ce mercredi 28 octobre un reconfinement total pour une durée minimale d’un mois.
Une mesure redoutée par les Français.
C’était le scénario le plus redouté. Il paraît désormais inévitable. La piste du reconfinement est bel et bien privilégiée. Emmanuel Macron devrait annoncer un confinement national ou par territoire dès ce jeudi minuit lors d’une nouvelle allocution télévisée ce mercredi 28 octobre à 20h, après avoir pris sa décision à l’issue du Conseil de Défense du matin même.
Ce nouveau confinement serait moins strict qu’au mois de mars, comparable à celui imposé en Irlande, avec des écoles ouvertes, ainsi que certains commerces, et des dérogations plus larges pour aller travailler. Un nouveau tour de vis, forcément impopulaire. Au gouvernement, on craint une montée de la colère parmi les Français.
C’est un scénario qui fait frémir au sommet de l’État : des violences à l’italienne, mais en France. « Entre la peur et la colère, on ne sait pas ce qui va prendre le dessus », s’inquiète un cadre de la majorité. Le député En Marche Bruno Kettels, lui, reste optimiste. « Le contexte n’est pas le même qu’en Italie », dit-il, « et les Français savent qu’il faut passer par là ».
« L’extrême droite italienne essaie de se refaire la cerise sur la situation sanitaire du moment, le calendrier électoral n’est pas le même en France. Il faut parier sur l’intelligence collective des Françaises et des Français, qui ont montré pendant le confinement qu’ils étaient tout à fait capables de prendre la mesure des choses. Il ne faut pas qu’il y ait de manifestations de remise en cause des décisions qui seraient prises, parce que, encore une fois, celles-ci ne sont pas faites pour emmerder les Françaises et les Français, mais pour les protéger. »
L’autre crainte de la majorité est celle d’une rébellion sur les réseaux sociaux : « On sait qu’on va en prendre plein la tête », confie un conseiller. Car quel que soit le scénario choisi, les mesures annoncées ce mercredi soir seront synonymes de privation de libertés, et donc elles seront très dures à vivre pour une partie de la population.
Crédit Image : Ludovic Marin / POOL / AFP | Crédit Média : RTL | Date :
28 octobre 2020