Alors là, c’est totalement faux et il faut vraiment être un « fin » ignorant des affaires de l’État pour dire une telle sottise. Le plus grand regret de Valéry Giscard d’Estaing devrait être sa trahison et sa félonie qui l’ont conduit à signer la loi du 3 janvier 1973 interdisant à l’État de battre monnaie et l’obligeant à se faire prêter de l’argent sur les marchés financiers privés à un taux usuraire. C’est bien cette loi qui a été reproduite dans l’article 104 du traité de Maastricht puis 123 de Lisbonne qui a produit à ce jour une dette française à 100 % du PIB c’est-à-dire plus de 2000 milliards d’euros (cf. graphe ci-dessous) !
Il a fait passer cette loi lorsqu’il était ministre de l’économie pendant près de cinq ans dans le gouvernement de Pompidou qui était lui-même un bankster de Rothschild ! La boucle est bouclée. Valéry Giscard d’Estaing était considéré comme la crème de la crème de l’élite française, un génie de la finance qui a d’ailleurs gouverné juste après en tant que président de la république, ce qui ne l’a pas empêché de ruiner le pays pour des décennies, faisant des Français, de génération en génération, des esclaves endettés au profit des banques privées.
Malheureusement, comme nous vivons dans un pays peuplé de journalistes médiocres et d’intellectuels de pacotille, ces questions cruciales ne seront jamais posées à ce traître. D’ailleurs, on imagine que dans ce livre d’entretiens il ne sera pas non plus question de son appartenance au club secret des Bilderbergs ni au club occulte du Bohemian club. Ce sont des groupes mondialistes ultralibéraux qui ont défiguré et détruit la planète depuis des décennies. Mais il est vrai qu’il est beaucoup plus simple de taper sur des immigrés algériens venus travailler que sur les maîtres du monde…; à la médiocrité il fallait bien ajouter la lâcheté.
L’ancien président de la République s’est confié au biographe Éric Roussel sur sa vie d’homme politique.
On y découvre ce qu’il considère comme étant sa plus grande erreur de président.
600 pages consacrées à la vie politique de Valéry Giscard d’Estaing seront publiées dès mercredi 10 octobre dans les librairies de France. À la tête de cet ouvrage publié aux éditions de l’Observatoire, le journaliste Éric Roussel. Il a passé près de 20 heures à écouter l’ancien président lui parler de ses années à la tête du pays. Entre deux joyeux souvenirs, il a abordé son plus grand regret. D’après Le Point qui a consulté les bonnes pages de la biographie, il s’agirait du regroupement familial. Il a été décidé en 1976 par Jacques Chirac par un simple décret.
« J’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application »
À ce moment-là, l’idée de réunir les membres d’une famille d’immigrés paraissait naturelle. Mais à l’heure où l’immigration explose dans le pays, elle pose question. Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing lui-même regrette cette initiative. « L’idée en soi était juste et généreuse […] Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité […] Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents », a-t-il ainsi déclaré. Dans ce livre, on en découvre un peu plus sur l’homme, sur ses relations avec les hommes politiques et notamment avec son Premier ministre Jacques Chriac. D’ailleurs, pour le journaliste qui s’est confié à France Bleu, il ne pense pas que ce dernier ait un jour voulu concurrencer son président. « C’est une […]
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