C‘est une victoire importante reportée devant la justice, en phase d’appel, qui va faire jurisprudence et dont absolument personne ne parle dans les médias parisiens officiels ! Il est tout de même assez curieux et humiliant de voir que des professionnels de la santé sont en train de se battre contre une décision politique d’une rare stupidité qui les obligeait à se faire injecter une thérapie génique contre leur gré et en faisant fi de recueillir leur consentement, alors que nous savons tous aujourd’hui que ces injections d’ARN messager ne servent à rien, n’empêchant pas la transmission et encore moins l’hospitalisation ou le décès ! Le monde réel a 10 trains d’avance par rapport aux décisions politiques de 2021 ! C’est voulu, c’est la stratégie des voyous qui nous dirigent, d’autant qu’avec une justice extrêmement lente et manquant de moyens, nous sommes tous en train de tourner en rond, chacun dans sa cage !
La nouvelle est importante, bien qu’elle ait été presque ignorée par la grande majorité des médias.
L’autorité sanitaire locale de Ligurie a été condamnée par le tribunal de Gênes à verser les salaires impayés aux agents de santé de l’hôpital « Santa Corona » de Pietra Ligure, qui avaient été suspendus de leurs fonctions pendant six mois, en 2021, parce qu’ils n’étaient pas vaccinés.
Peut-être que quelque chose bouge enfin. Il s’agira d’un cas isolé, celui de l’Asl2 de la Ligurie, mais il pourrait constituer un précédent important. Les dix agents de santé, pour la plupart des infirmières, qui n’avaient pas respecté l’obligation de vaccination prévue par le décret-loi du 31 mars 2021 – à l’époque du gouvernement Draghi – avaient fait appel après que la première instance du procès à Savone eut connu une issue négative. Nous l’apprenons en lisant « L’Indipendente », en effet parmi les rares journaux à rapporter les nouvelles, si ce n’est les journaux locaux liguriens. Roberto Penello, l’avocat des dix travailleurs de la santé, s’adressant à IVG, le journal local ligure qui a été le premier à rapporter la nouvelle, a souligné que, au-delà du décret lui-même, la société de santé n’a pas respecté la procédure prévue avant de procéder à la suspension de leur travail.
« La société de santé aurait dû vérifier l’affectation de ces personnes à d’autres tâches, mais elle ne l’a pas fait », a-t-il ajouté. Même les tâches inférieures qui n’impliquaient pas de contact avec le public, mais cette procédure n’était pas non plus respectée. Par conséquent, et pour ces raisons, le jugement a donné raison aux travailleurs, condamnant l’ASL2 à payer les salaires suspendus à partir de la date du jugement jusqu’en décembre 2021. Avec le décret-loi du 31 mars, comme vous vous en souvenez, le gouvernement Draghi avait introduit la vaccination obligatoire pour les médecins, les infirmières, les pharmaciens et les travailleurs socio-sanitaires, valable jusqu’à la fin de la mise en œuvre du plan de vaccination et, en tout cas, au plus tard le 31 décembre 2021.
La question de la vaccination obligatoire est débattue en jurisprudence depuis des mois. À titre d’exemple, nous pouvons citer le tribunal de Sassari qui, par l’ordonnance n° 2545 du 9 juin 2022, a déclaré que « la réglementation relative à l’obligation de vaccination viole l’article 3 de la Constitution, car, pour éviter la propagation du virus, elle impose au travailleur une obligation inutile qui porte gravement atteinte à son droit à l’autodétermination thérapeutique au sens de l’article 32 de la Constitution ».
26 janvier 2023
Titre de l’article original en italien : “Rimborsate i medici sospesi”, la storica sentenza del tribunale di Genova condanna l’Asl a erogare gli stipendi
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator