Comment expliquer une telle folie malgré le scandale mondial de #BalanceTonPorc ! Comment expliquer un tel mépris des victimes présumées concernant Roman Polanski déjà condamné par la justice pour avoir violé une gamine de 13 ans aux USA après avoir utilisé de la drogue !
En réalité, ceci ne fait que confirmer l’existence d’une élite parisienne pédocriminelle dont les membres se protègent les uns les autres. L’autre affaire Gabriel Matzneff ne fait que confirmer cette effrayante réalité, sans oublier Christophe Girard, Pierre Bergé, Frédéric Mitterrand, Jack Lang, Daniel Cohn-Bendit…
D’ailleurs on aimerait bien savoir à quoi peut bien servir la parité hommes/femmes lorsque l’on voit autant de femmes soutenir Polanski (F. Ardant, les sœurs Seignier…) ? Sans oublier toutes les femmes qui applaudissent Polanski lorsqu’il gagne un César…
Rappel vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=cmF-du60xkg
Lundi 14 septembre, dans la soirée, s’est déroulée la première étape de leur mise en application : la nouvelle assemblée générale a été élue. Or, parmi ses membres, on retrouve Alain Terzian, l’ancien patron des César et… Roman Polanski. La présence du cinéaste, lauréat de la dernière statuette de meilleur réalisateur pour « J’accuse », fait déjà grincer des dents. Analyse d’une réforme à la fois profonde, mais incomplète.
Un conseil d’administration et un bureau élus
C’était une demande importante des « frondeurs ». Jusqu’à présent, les instances dirigeantes des Césars n’étaient pas élues : leurs membres intégraient ces instances mécaniquement (parce qu’ils avaient reçu un Oscar, par exemple) ou en étant cooptés par des membres déjà présents. Ces principes ont volé en éclat avec les nouveaux statuts. Désormais, le conseil d’administration et le bureau seront élus par une assemblée générale composée de 182 membres, eux-mêmes choisis par les 4313 professionnels du cinéma qui votent chaque année pour attribuer les statuettes.
Une nouvelle assemblée générale « presque » paritaire
Entre le 7 et le 14 septembre, les 4313 votants ont donc été appelés à voter pour composer l’Assemblée générale en place pour quatre ans. Entre dix et trente professionnels du cinéma se sont présentés dans chacune des 21 branches professionnelles (correspondant aux 21 statuettes : réalisation, interprétation, production, effets spéciaux, maquillage et coiffure…)…
Au final, sur les 182 représentants de l’assemblée générale, on compte donc 84 femmes et 98 hommes.