Article ahurissant publié par la plus grosse agence de presse mondiale, Reuters, qui essaye très maladroitement de minimiser les effets indésirables graves chez les jeunes thaïlandais qu’une étude qui vient d’être publiée dénonce. L’étude après une 2e injection contre le COVID-19 a révélé que 18% -ont subi un effet cardiaque détectable, et que 1 sur 43 avait une myocardite confirmée ! Ces chiffres sont extrêmement inquiétants et gravissimes car ces jeunes ne sont pas concernés par la maladie du Covid-19 et que la médecine d’avant 2020 aurait immédiatement arrêté ce massacre qui n’a aucun sens scientifique et encore moins de santé publique.
Il faut bien rappeler à nos lecteurs encore une fois que les moins de 40 ans ne sont quasiment pas concernés par cette maladie. Donc, le moindre effet indésirable grave fait complètement basculer la balance bénéfice/risque. Deuxièmement, le fait que ces injections d’ARN messager ne protègent pas contre la transmission du virus, il n’y a plus du tout aucun intérêt à faire vacciner les jeunes. Il y a 3 ans, le moindre effet indésirable de ce type aurait fait cesser immédiatement l’essai clinique. À cause de l’hystérie covidiste, non seulement ils vaccinent les jeunes – qui n’étaient pas inclus dans l’essai clinique initial – en injectant en masse des centaines de millions d’individus ! De la pure folie.
Bien entendu, l’article de Reuters ne mentionne absolument pas que l’ex patron de l’agence, James C. Smith, est un investisseur de Pfizer et un membre de son Conseil d’administration depuis 2014 ! En d’autres termes, les articles de Reuters sur cette question précise n’ont absolument aucun intérêt, aucune crédibilité.
Une étude portant sur 301 adolescents en Thaïlande a révélé des changements légers et temporaires du rythme cardiaque après une deuxième dose du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 chez un adolescent sur six, et non un tiers comme le prétendent les publications sur les réseaux sociaux. L’étude a également vu des signes possibles d’inflammation cardiaque chez seulement sept de ces adolescents présentant des changements de rythme et une myocardite confirmée chez un seul des sept.
Les utilisateurs des médias sociaux font circuler l’étude des effets cardiaques post-vaccination chez les adolescents thaïlandais en affirmant qu’un tiers des participants ont subi des effets cardiaques et en suggérant que les résultats indiquent un nouveau niveau de danger pour les enfants. Ces messages manquent de contexte : les auteurs de l’étude ont conclu : “Nous avons constaté que le risque de ces symptômes n’était pas aussi faible que celui rapporté ailleurs, mais dans tous les cas, les symptômes étaient légers avec un rétablissement complet dans les 14 jours.”
Un message Twitter partagé plus de 11 000 fois ( ici ) contient un lien vers l’étude préimprimée de Suyanee Mansanguan de l’hôpital Bhumibol Adulyadej de Bangkok et ses collègues, avec le commentaire suivant : “BREAKING : une nouvelle étude a révélé des effets indésirables cardiovasculaires chez environ un tiers des adolescents après la vaccination par Pfizer et une inflammation cardiaque chez un sur 43, soulevant de nouvelles inquiétudes quant aux risques de la vaccination pour les jeunes. C’est au-delà de ce qui concerne.
Des versions similaires de la publication sur Facebook peuvent être vues ( ici ) ( ici ) ( ici ) ( ici ).
Le tweet original a suscité des réponses qui incluent des commentaires suggérant que l’étude est une nouvelle source d’inquiétude, comme “Je suis tellement inquiet que mes enfants adolescents trouvent un partenaire de vie sain à l’avenir. Je crois comprendre qu’environ 61 % des enfants âgés de 12 à 17 ans. sont (désolé de l’avoir dit crûment) des biens endommagés maintenant » ( ici ) et « Ça me met tellement en colère que mon fils en très bonne santé, un athlète universitaire, ait dû se faire vacciner, ou ne pas poursuivre sa carrière universitaire » ( ici )…