C’est certainement dû à un complot des magistrats ! Ils le relâchent mais en réalité c’est pour le piéger… À coup sûr, c’est un complot dans le complot du complot !
Blague à part, nous pouvons constater que les magistrats qui ont instruit cette affaire – qui continuent à le faire d’ailleurs – ont été exemplaires, car tant que le prédicateur Tartuffe passait son temps à mentir lors des auditions, il a été maintenu en détention. Dès qu’il a tout avoué, dès qu’il a cessé de mentir en accusant précisément les plaignantes de ses propres tares, ils l’ont relâché et mis sous contrôle judiciaire. C’est aussi simple que ça.
Il reste tout de même très choquant de voir les partisans et la famille de Tariq Ramadan prier Dieu pour cette libération en tant que musulmans pratiquants, alors qu’ils n’ont toujours pas compris que tout ce scandale humiliant c’est Dieu qui l’a voulu pour faire cesser justement 30 ans de mensonges et de tromperies ! Décidément, ils n’ont rien compris, ne veulent pas comprendre et ne comprendront jamais. Tant pis pour eux.
Nous saisissons cette opportunité pour poster ci-dessous nos vidéos concernant cette affaire afin de vous rappeler à quel point ses partisans ont menti dans l’intérêt de leur gourou, porté sur l’œuvre de chair et se situant totalement en porte-à-faux avec ses « doctes » enseignements.
https://www.youtube.com/watch?v=BKGn_w184_4
https://www.youtube.com/watch?v=InmwX5JZLzg
L’islamologue, qui devra remettre son passeport suisse, sera soumis au contrôle judiciaire.
La cour d’appel de Paris a ordonné ce jeudi 15 novembre la mise en liberté sous contrôle judiciaire de Tariq Ramadan, incarcéré depuis sa mise en examen le 2 février pour des viols qu’il conteste, a annoncé son avocat à l’AFP.
La libération de l’islamologue suisse de 56 ans est soumise au versement d’une caution de 300.000 euros, a précisé son avocat Emmanuel Marsigny. Tariq Ramadan, qui doit remettre son passeport suisse, a interdiction de quitter le territoire, d’entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra pointer une fois par semaine au commissariat.
HuffPost / AFP