Un véritable carnage, des plus monstrueux, a fait près de 300 morts selon un bilan provisoire aussi bien dans des hôtels de luxe touristiques que dans les églises catholiques qui fêtaient Pâques ! Nous en profitons pour présenter nos condoléances aux familles des victimes ainsi que notre soutien dans ces tragiques moments.
Quel genre de sauvage faut-il être pour attenter ainsi à la vie des civils ? Comme par hasard, ce groupe qui n’a rien de musulman existe depuis peu et son idéologie est identique à celle des groupes terroristes financés et formés par la Saoudie maudite, l’ami de l’israël et de l’Occident ! De plus, sachant que les musulmans sri lankais représentent à peine 8 % de la population, à quelle logique font-ils appel pour vouloir s’imposer de la sorte en étant si minoritaire ? C’est totalement absurde et ne correspond à aucune réalité démographique, ni historique !
À la manière du GIA algérien des années de sang ou tout simplement du complot Gladio, ces mouvements terroristes sont clairement manipulés par des entités étrangères criminelles afin de faire basculer le monde dans le chaos.
Rappelons que pour le moment, les attentats n’ont toujours pas été revendiqués.
France 2 fait le récit de cette journée sanglante.
Le Sri Lanka a connu un sanglant dimanche de Pâques. Une vague coordonnée d’attentats a fait au moins 207 morts, le 21 avril.
En quelques heures, des bombes ont semé mort et désolation dans quatre hôtels et trois églises, en pleine messe de Pâques, en plusieurs endroits de l’île d’Asie du Sud, qui n’avait pas connu un tel déchaînement de violence depuis la fin de la guerre civile, il y a dix ans.
« J’ai entendu l’explosion. Le toit nous est tombé dessus. On a pris les enfants et on est sortis par la porte arrière », a notamment raconté un témoin au micro de France 2.Huit explosions au total
Huit explosions, non revendiquées, se sont produites dans cette île prisée des touristes étrangers pour ses plages idylliques et sa nature verdoyante, faisant aussi plus de 450 blessés. Huit personnes ont été arrêtées, a annoncé le Premier ministre Ranil Wickremesinghe. Il a reconnu qu’« il y avait des informations », qui « doivent faire l’objet d’une enquête », sur des risques d’attaques.