Extraordinaire coup de force d’un des plus grands voyous à col blanc Français, il a fait disparaitre 14 millions d’euros en quelques années pour embaucher des salariés au noir ou tout simplement volés pour enrichissement de certains bons pions !!! Du sursis et 100 000 € d’amende pour 14 millions !!! On a peine à y croire ! C’est vrai également qu’il présente mieux, un beau blanc, cheveux gris, yeux clairs… c’est mieux qu’un petit jeune de banlieue en survêt mais qui se prend 1 an ferme pour avoir maltraité un chat ! C’est à ces moments précis que l’on comprend à quoi peuvent bien servir les réseaux occultes. Vive la ripoublique maçonnique pour 1000 ans encore.
La cour d’appel de Paris a condamné mardi 1er décembre l’ex-patron Denis Gautier-Sauvagnac à deux ans de prison avec sursis et à 100 000 euros d’amende au procès en appel de « la caisse noire » de la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM). L’avocat général avait requis trois ans de prison, dont un ferme, et 375 000 euros d’amende à son encontre.
- Les autres condamnations. La cour a par ailleurs condamné l’ancien délégué général de l’UIMM Dominique de Calan à 50 000 euros d’amende, l’ex-chef comptable Dominique Renaud à 5 000 euros d’amende et l’UIMM, en tant que personne morale, à 30 000 euros d’amende.
- Les réquisitions. Comme pour Denis Gautier-Sauvagnac, l’avocat général avait requis à leur encontre la même peine qu’en première instance, soit un an avec sursis et 150 000 euros d’amende pour Dominique de Calan, huit mois avec sursis pour Dominique Renaud et 150 000 euros d’amende pour l’UIMM.
- Les faits reprochés. Il était reproché à Denis Gautier-Sauvagnac d’avoir retiré entre 2000 et 2007 quelque 19 millions d’euros en liquide des caisses de « l’entraide professionnelle » de l’UIMM (EPIM), une structure destinée à apporter « un appui moral et matériel » à ses adhérents subissant un conflit du travail. Une partie de ces fonds a été utilisée pour rémunérer des salariés non déclarés. Une autre a servi à des compléments de salaire ou de retraite également non déclarés et on n’a retrouvé aucune trace des 14 millions d’euros restant, avait rappelé l’avocat général.Le Monde.fr / AFP