Comme toujours, le dernier scandale Facebook de Cambridge Analytica des agents de l’entité sioniste scélérate ayant travaillé pour le Mossad. Ces donneurs de leçons, ces faux humanistes, ces criminels voleurs de terre sont toujours impliqués dans les bons coups, de bons démocrates.
Une compagnie britannique spécialisée dans la communication stratégique et l’analyse de données, déjà au cœur du scandale mêlant Facebook à la campagne électorale de Donald Trump, se retrouve une nouvelle fois sous le feu des projecteurs après les révélations sensibles de son directeur obtenues lors d’une interview en caméra caché par la chaîne anglaise Channel 4.
La semaine dernière, plusieurs médias dont The New York Times et le journal britannique The Observer, ont accusé l’entreprise Cambridge Analytica d’avoir exploité sans leur consentement les données de 50 millions d’utilisateurs Facebook pour élaborer un logiciel permettant de prédire et d’influencer le vote des électeurs pendant la campagne du président américain en 2016.
Provoquant un véritable tollé, ces révélations – niées en bloc par l’entreprise – ont entraîné dans leur sillage le réseau social aux milliards d’abonnés, faisant chuter lundi le prix de son action de 6.8% à la bourse de Wall Street.
Mais le scandale a pris une nouvelle ampleur lundi lorsque la Channel 4 a diffusé un reportage dans lequel le patron de Cambridge Analytica, Alexander Nix, filmé en caméra cachée, a révélé au journaliste avoir été secrètement sollicité à l’occasion de plusieurs élections à travers le monde notamment en Argentine, en République tchèque, en Inde, au Kenya et au Nigeria – tout en décrivant ses méthodes pour recueillir des informations.
Parmi les tactiques clandestines de récolte d’informations citées, l’élaboration de pièges contre des politiciens mais aussi l’emploi de prostituées ukrainiennes.
« Nous avons deux projets en ce moment qui impliquent des recherches détaillées sur l’opposition et sur l’obtention de sources… des sources vraiment destructrices que nous pouvons décider d’utiliser au cours de la campagne », a déclaré Nix.
Poursuivant ses confidences, le patron de la société, accompagné de son directeur général de la division politique, Mark Turnbull, a précisé avoir également obtenu de nombreuses informations grâce à la précieuse aide d’anciens espions britanniques…et israéliens.
« Nous faisons appel à des sociétés britanniques, nous faisons appel à des sociétés israéliennes”, a-t-il ajouté, soulignant que les prestataires israéliens étaient “très efficace dans la collecte de renseignements ».
Cernée par les accusations, la société, interrogée par le Times of Israel après la diffusion du reportage de la Channel 4, a totalement réfuté toutes les allégations.
Les autorités chargées de la protection des données dans l’UE se sont saisies mardi de l’affaire.
Le sujet est au menu d’une réunion de ces autorités à Bruxelles, a indiqué la Commission européenne, dont une […]
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