Attention, il faut bien suivre, car ça va être un peu compliqué ! Grosal chiale à longueur de journées en mettant absolument tout sur le dos des juifs, y compris ses frasques sexuelles, sauf avec Goldman Sachs et Rothschild. Que Trump travaille avec eux, lui paraît tout à fait normal, pas de soucis. Pourtant Gary Cohn, ça sonne très… levantin mais non, pas cette fois-ci ! En fait, c’est ce voyou de hmar qui décide qui est le bon juif et qui ne l’est pas, selon ses intérêts du moment ainsi que ceux du FN susurrés à l’oreille par son patron, Ph. Péninque.
En fait non ! Grosal n’a pas raison, il se plante encore une fois, comme toujours. Il ne peut faire de bonnes analyses car les siennes sont toujours tributaires de ses intérêts et des stratégies politiques de ses donneurs d’ordres et jamais par la réalité ou la vérité tout court.
Trump propose un poste à Gary Cohn
Le président élu américain Donald Trump a demandé à Gary Cohn, directeur général adjoint de la banque Goldman Sachs, de diriger le Conseil national économique de la Maison blanche, chargé de coordonner la politique économique gouvernementale, rapporte aujourd’hui la chaîne NBC News.
Cohn est souvent considéré comme le successeur désigné de Lloyd Blankfein, le directeur général de Goldman Sachs. Deux anciens banquiers de Goldman Sachs ont déjà été choisis pour faire partie de la future administration: Steve Mnuchin, pour le poste de secrétaire au Trésor, et Stephen Bannon, animateur du site d’extrême droite Breitbart News, pour le poste de “stratège en chef”.
Donald Trump devrait également nommer à la tête du département de l’Intérieur la représentante Cathy McMorris Rodgers, une farouche partisane d’une augmentation de l’exploitation pétrolière et gazière aux Etats-Unis, a-t-on appris de source proche du dossier aujourd’hui.
Le département de l’Intérieur aux Etats-Unis, qui diffère de celui de la Sécurité intérieure, est le ministère chargé de la gestion des terres fédérales. La nomination de Cathy McMorris Rodgers signifie donc que l’industrie pourrait avoir plus facilement accès aux terres de l’Etat, qui représentent plus d’un quart du territoire américain et comprennent les parcs nationaux et les territoires tribaux.