Il suffit juste de voir le visage de ce triste personnage pour comprendre à quel point les élites françaises sont totalement ridiculisées. Nous n’allons pas entrer dans le détail de son œuvre pathétique, il suffit de rappeler que le pseudo philosophe Pascal Bruckner soutient Emmanuel Macron ! Comment peut-on être philosophe tout en soutenant un bankster à la tête de l’État et de ses finances ? Ceci est une insulte à la raison et à la sagesse…
Pourtant, ce monsieur passe son temps à distiller sa propagande dans les médias avec la régularité d’un métronome. À chaque livre écrit (sic), il bénéficie d’un soutien médiatique extraordinaire, en faisant la tournée des popotes !
Pascal Bruckner aime écrire des textes à la limite de la provocation.
Déjà, dans les années 1980, en signant Le sanglot de l’homme blanc, il fustigeait la culpabilité occidentale et une rectitude politique qu’il jugeait étouffante et paralysante.
Son dernier opus, Un racisme imaginaire. Islamophobie et culpabilité, paru chez Grasset, entraîne le lecteur sur le même chemin.
« Qu’est-ce que le politiquement correct ? lance-t-il d’entrée de jeu. L’allergie à la nomination, l’escamotage des difficultés, l’impossibilité de dire les choses sinon par métaphore, déplacement, amphigourisme », écrit-il.
L’auteur est français, vit en France, et son analyse prend ses racines dans la société française.
Mais cette analyse pourrait s’appliquer de façon universelle, dit-il en entrevue.
En atterrissant en sol québécois, à l’occasion du festival Metropolis bleu, Pascal Bruckner est conscient de rencontrer une culture et une tradition autres que celles de la société française…
Caroline Montpetit – Le Devoir